Cette partie du forum n’est pas compatible avec les bloqueurs publicitaires
Félicitations à vous, de préférer les accès payants plutôt que la gratuité par la publicité, c’est honnorable et cohérent de votre part. Malheureusement, l’accès payant par micropaiement (qui serait d’environ 1 cent pour 20 pages consultées) n’est pour l’instant pas encore mis en place, et l’accès gratuit sans publicité, est réservé aux membres actif(ve)s du forum. En attendant, si vous souhaitez poursuivre votre visite chez nous, vous pouvez ajouter le site à votre liste blanche, ou encore mieux, désactiver le bloqueur partout. Pour ajouter le site à votre liste blanche, pour Firefox (similaire pour les autres navigateurs), rendez‑vous en bas à gauche de la fenêtre de votre navigateur, et cliquez sur le menu comme dans l’exemple de l’image ci‑dessous, puis rechargez la page, en appuyant sur F5.
|
|
Auteur | Message |
---|---|
Administrateur
|
Je n’avais même pas tiqué qu’on est le 11 Septembre.
Elle dit quoi la chanson ? J’écouterai plus tard. Il y a un ancien sujet aussi : Les inévitables commémorations des 10 ans du 11 Septembre. C’était en 2011, et alors particulier. Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
|
|
Tchatcheur
|
Voilà les paroles et en rouge celles particulièrement dédiées au 11 septembre
Elle vient de partir de chez elle Un croissant, un éclat de rire Son mari lui dit qu'elle est belle Mais dans une heure elle va mourir Elle n'a pas choisi son destin Juste là au mauvais moment Puisqu'il fallait prendre ce train Et Madrid pleure ses enfants Adieu Nous sommes tous dans le noir Si tu n'existes pas Au moins fais-le savoir Adieu Je n'ai plus de questions Mes yeux sont abîmés Mon coeur perd la raison Sa femme attend une deuxième fille Elle jure qu'elle n'en aura pas plus Il touche son ventre, les yeux qui brillent Pourquoi juste à cet arrêt de bus ? Pourquoi ce type est si couvert ? Il fait si chaud à Netanya Le sang se mélange à la terre Et le monde reste sans voix Adieu Nous sommes tous dans le noir Si tu n'existes plus Au moins fais-le savoir Adieu Je n'entends plus l'Histoire Mes yeux sont fatigués Mon coeur perd la mémoire 9h16, il est en retard Comme à peu de chose près tous les jours Mais aujourd'hui il est trop tard Il ne montera pas dans la tour Il voit des cris courir vers lui Il croise des yeux qui hurlent de peur Pourquoi ces larmes, pourquoi pas lui ? Et cette poussière à vie dans le coeur Adieu Nous sommes tous dans le noir Si tu n'existes pas Au moins fais-le savoir Adieu Il y a tant de questions Mes yeux sont épuisés Mon coeur perd la raison Adieu Nous sommes tous dans le noir Si tu n'existes plus Au moins fais-le savoir Adieu Ils se réclament de toi Dis-leur que ce n'est pas toi Qui as voulu tout ça Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie! |
Modératrice
|
Je ne connaissais pas cette chanson. Elle est bien jolie. Enfin, malgré l'atrocité des événements dont elle parle.
|
Tchatcheur
|
Les fêtes de Wallonie ont lieu en ce moment. Donc c'est de circonstances d'écouter une des chansons wallonnes les plus populaires si pas la plus populaire
Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie! |
Débateur
|
Comme tous les peuples d'origine celtique les Wallons pratiquaient
la cornemuse, cela s'est perdu mais il reste malgré tout des joueurs de cornemuse. En terre Wallonne peut-être vous l'ai-je dit, "une cornemuse" s'appelle "on pupsak" et un joueur de pupsak est "on pupsakeu" Vî noyé walon veut dire en français : vieux Noël wallon |
Débateur
|
Claude Semal
est un chanteur, auteur, journaliste, chroniqueur, humoriste et comédien belge, né à Bruxelles en 1954. Homme de spectacle, chanteur, acteur, auteur satirique, parolier, pamphlétaire, journaliste et militant à l'hebdomadaire Pour (1974-1980), cofondateur du théâtre Le Café à Bruxelles, chantre critique de la belgitude, Claude Semal a enregistré une dizaine de CD, la plupart pour le label Franc'Amour, et produit une vingtaine de spectacles. Petite précision pour les non Belge : "Les convoyeurs" sont des transporteurs qui avec des camions spécialement aménagés pour cela, amènent les pigeons de compétition, à l'endroit où on les lâche. Lors des bulletins d'information du samedi et du dimanche matin les colombophiles dont les pigeons participaient à un concours peuvent écouter les informations concernant les lâchers de pigeons selon les endroits d'où ils sont lâchés. Par exemple Mettet - temps pluvieux et brumeux - les convoyeurs attendent. Momignies - temps couvert - grand vent - les convoyeurs attendent. Reims - brouillard - les convoyeurs attendent. Angoulème - Temps gris et sec - les convoyeurs lâchent à partir de 7 heures. Perpignan - Temps sec et soleil - les convoyeurs lâchent à partir de 6 heures. (Perpignan est l'un des points les plus éloignés) . |
Tchatcheur
|
Ric a écrit : Petite précision pour les non Belge : "Les convoyeurs" sont des transporteurs qui avec des camions spécialement aménagés pour cela, amènent les pigeons de compétition, à l'endroit où on les lâche. suis Belge et je savais pas. Et je ne connaissais pas non plus ce chanteur d'ailleurs Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie! |
Administrateur
|
nwanda a écrit : suis Belge et je savais pas. Peut‑être que c’est plus une expression colombophile que Belge. Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Débateur
|
Les convoyeurs attendent
C'est AUSSI le titre d'un excellent film ! À l'aube de l'an 2000, Roger, énergique père de famille belge, photographe à la rubrique « chiens écrasés » d'un journal local, aspire à un avenir meilleur et se met en tête de faire accomplir à son fils un exploit pour entrer dans le "Livre des records" et gagner une voiture : ouvrir et fermer une porte plus de 40 000 fois en 24 heures ! Mais tout ne se déroule pas comme prévu. Grand prix au Festival international du film de Stockholm de 1999 Nwanda a écrit : suis Belge et je savais pas. Bah, tracasses toi pas ! Pas grââââff comme on dit chez nous les Belch, on peut pas tout savoirrr, une fois "Le pays petit" a aussi été chanté par Christiane Stefanski |
Débateur
|
Un autre chanteur belge (aujourd'hui disparu)
Paul Louka Paul Louka, de son vrai nom Vital-Paul Delporte, né à Marcinelle le 17 août 1936, mort à Mont-sur-Marchienne le 23 juillet 2011, est un auteur, compositeur, interprète, comédien, écrivain, peintre et saltimbanque. En 1959, après une rencontre avec Jacques Brel, il « descend » trois ans à Paris pour se produire de cabaret en cabaret (Chez Moineau, La Bolée, Ma cousine, La Colombe, Le Cheval d'Or, Le Port du salut, L'Échelle de Jacob, La Tête de l'art, Les Trois Baudets, etc.). Il rencontre des artistes tels que Raymond Devos ou les Frères Jacques et entame à partir de 1962 une grande amitié avec Georges Brassens, avec qui il se produira en première partie à Bobino. |
|