Quarantaine décidée en france à cause du coronavirus

Un exemple dans cet article : Covid-19 : bientôt des bornes à l’entrée des restaurants pour scanner le pass sanitaire ? (leparisien.fr), 3 Août 2021.

L’installation de ces équipements qui ne ressemblent pas à du temporaire et les coûts, qui ne suggèrent pas du temporaire non‑plus, font craindre que ce système ne soit mis en place pour durer longtemps et peut‑être même toujours. Bientôt, à moins qu’une proportions assez importantes de la population de ce pays ne se décide à désobéir, la france fera penser à la Chine.

Des désillusions en perspective pour les gens qui obéissent pour que ça s’arrête.

Ce message plus long que les autres, s’attarde sur un cas grave, celui d’une affiche qui n’est qu’un exemple parmi d’autres de ce qui est actuellement fait pour cibler les mineurs. Cette affiche est représentative de la propagande actuelle, pas seulement en france d’ailleurs :



Cette affiche trahit plusieurs problèmes. Et cette affiche n’est pas celle d’une irresponsable entrepris quelconque, c’est une affiche des autorités, de l’état.

 — Faire passer un acte médical, ou la prise d’un produit pharmaceutique, pour un acte festif : irresponsable, surtout de la part des autorités ; ça dit où on en est. Les médicaments ne sont pas des bonbons, et c’est le cas de n’importe quel autre produit pharmaceutique. La prise de tout produit pharmaceutique présente un risque qui doit être mis en balance avec le risque qu’il prévient. Cette mise en balance est entièrement masquée et lui est substitué un caractère festif. Pour des mineurs, cette responsabilité ne peut normalement être prise que par les parents, avec l’avis et les conseils d’un médecin, en tenant compte de la réaction de l’enfant ou de l’adolescent. C’est le propos des deux points suivants.

 — L’affiche, sans le dire, soustrait les enfants à la responsabilité de leurs parents, l’état s’y substituant. C’est révélateur d’un aspect particulièrement grave de l’actuel état français, comme l’illustre les deux images sur lesquelles se terminent ce message, plus loin.

 — L’affiche, sans le dire, dit à quel point les démarches médicales normales, sont devenues étrangères à la politique « sanitaire » du gouvernement. De nombreux soignants sont l’objet de pressions, soit pour leur interdire d’exercer librement (le mouvement « laissons les prescrire » n’aura pas fait long‑feu), soit pour leur interdire de parler (les soignants et médecins témoignant de réalités mettant en cause la parole officielle, sont censurés).

 — Faisant échos au point précédent, l’OMS elle‑même, ne conseille pas de vacciner les mineurs, justement parce qu’avec les mineursla balance bénéfice / risque est encore plus mauvaise qu’avec n’importe qui d’autre. En france, des médecins ont d’ailleurs eu le courage de désobéir aux politiques, n’ont pas perdu de vue qu’ils sont médecins, et ont refusé de vacciner les mineurs. Un rappel de cette note de l’OMS, faite depuis un compte Twitter français, a été censurée par Twitter.

 — Faisant échos à la banalisation d’un produit pharmaceutique, comme abordé dans le premier point, en voyant cette affiche, il faut se souvenir que l’actuel président de la « république » a chargé la société McKinzey, d’organiser le lobbying en france pour la campagne de « vaccination ». McKinzey est une société de lobbying Américaine, déjà connue pour être impliquée dans la banalisation de médicaments aux opioïdes aux États‑Unis, une banalisation qui a fait 500 000 morts par overdose, en 20 ans. Pour contextualiser, ces médicaments ne ciblaient pas des toxicomanes. L’implication de cette société dans ce scandale pharmaceutique et ses 500 000 morts en 20 ans, n’a visiblement pas dissuadé le gouvernement de faire appel à cette société pour sa propagande. Cette affiche dit quelque chose du niveau d’irresponsabilité ou de perversion, au choix.

 — Acheter l’obéissance par la promesse de réductions ou de lots. Cette affiche trahit à quel point la corruption vient naturellement à la pensée du pouvoir, pour obtenir quelque chose de quelqu’un. La corruption des citoyens n’est pas moins grave que celle des politiques, elle a déjà fait assez de ravages comme ça dans l’économie et les relations sociales.

 — La propagande de l’état, ciblant les enfants et préadolescents, met quasiment toujours en scène des images de jeunes filles, ce qui est révélateur d’un autre aspect de l’état français, mais cet autre aspect déborde du cadre de ce sujet ; il n’en est pas moins grave.

 — Cette affiche est une caricature de ce que peuvent faire les influenceurs, que le gouvernement a lui‑même dénoncé, pour faire pire encore. Pour situer le contexte, dans le même esprit que cette affiche, Macron s’est adressé à des enfants et adolescents sur des réseaux sociaux qui leur sont plutôt réservés, comme Tik Tok, Instagram et Snapchat. Je n’ai pas connaissance qu’on ait jamais vu une telle intrusion ailleurs que dans les régimes autoritaires.


Certains de ces points mentionnaient la gravité qu’il y a à soustraire les enfants à la responsabilité de leurs parents. Une affiche historique et une parodie contemporaine de cette affiche historique, peuvent servir à le rappeler.

L’image ci‑dessous, est un détournement de l’affiche historique, dans l’image qui suit celle ci‑dessous. L’originale historique, rappel que les idéologies autoritaires, ont toujours cherché à soustraire les enfants à leurs parents, pour mieux en prendre possession tout en les dépossédant d’eux‑même (leur environnement, leur origine, leur histoire, etc). En fait, c’est même un trait des idéologies autoritaires, parce que en dehors de ce cas, la chose la plus naturelle est que les enfants sont sous la responsabilité de leurs parents (l’état ne devrait intervenir qu’en cas de mauvais traitements ou d’atteinte à l’intégrité).



Sur l’originale que parodie l’image plus haut, c’est Staline qu’on reconnait. C’est typique de toutes les idéologies autoritaires, ce n’est pas exclusivement propre au communisme. Dans un premier temps, j’ai d’ailleurs cru que la parodie plus haut, avait pour originale, une affiche de propagande mussoliniste.

Christophe Prudhomme, médecin au SAMU, rapporte que depuis le début de l’épidémie, non seulement le nombre de lits dans les hôpitaux a été réduit, mais le personnel aussi. Pire encore, alors que le roi et sa cours décide de supprimer des lits, du personnel, d’insulter et menacer le personnel restant, il trouve le moyen d’imposer d’employer vigiles pour surveiller les entrées des hôpitaux, afin d’en interdire l’accès aux gens ne disposant pas d’un pass « sanitaire ». L’emploi de ces vigiles, coûtera à l’ensemble des hôpitaux de france, 60 millions d’€ par mois.

Le taré et sa cours, préfère dépenser 60 millions d’€ par mois pour interdire l’accès aux hôpitaux à certaines gens, plutôt que de dépenser le moindre euro pour les équiper en lits en et personnels supplémentaire (il fait même l’opposé depuis le début de l’épidémie).

Peut‑être une explication à la censure sur Twitter : Alice Garza, ex conseillère LREM au Sénat intègre Twitter France (ojim.fr), 23 Juillet 2021.

Elle fait parti de la “ policy team ”, c’est à dire le personnel qui décide des règles sur Twitter, par exemple les tweets qui seront supprimés.

La volonté politique de dramatiser, n’échappe même plus aux médias classiques : « Il faut qu’on dramatise un peu » : Emmanuel Macron et ses ministres jouent le tout pour le tout (gala.fr), 12 Août 2021. D’après d’autres sources, la phrase exacte serait « il faut qu’on dramatise, pour que tout le monde se vaccine ». Il y avait déjà eu ce précédent : « Un ton grave et catastrophique » : filmé en train de donner des consignes à l'ARS, le préfet de Guadeloupe crée la polémique (ladepeche.fr), 3 Août 2021.

L’article de Gala rappel encore sans le vouloir, qu’on ne parle même plus de malades, mais de porteurs du virus, alors qu’il y a une différence entre être malade et porteur d’un virus ou d’une bactérie. C’est sûr que ça ne dit rien sur l’éventuel réveil du virus ou son éventuel transmission, mais ça montre quand‑même qu’il y a volonté de gonfler les chiffres, ce que confirment les deux consignes (et probablement pas les seules) rapportées plus haut.

Extrait d’un échange ailleurs sur le web :


Quelqu’un lui répond en témoignant :


On en est à un point où on il est devenu difficile de faire confiance, même aux médecins, parce qu’ils sont nombreux à être sous influences. Pour une raison que j’ignore, les infirmières semblent plus indépendantes, peut‑être parce que leur carrière représente un enjeux moins important (le statut social d’un médecin et d’une infirmière, n’est pas le même).

Ces problèmes de confiance existait déjà avant l’épidémie de covid, mais ils ont nettement été aggravés par les pressions politiques s’exerçant sur les médecins.

L’UE commence seulement à s’intéresser à un tout petit nombre de cas de victimes d’effet secondaire. Même pas encore pour reconnaître ces cas, seulement pour savoir si oui ou non elle va les reconnaître. Rien concernant la non‑remonté de nombreux cas, parce que soit des médecins soit les autorités, dissuadent de le faire, soit parce que les victimes sentent que personne ne veut en entendre parler.

Voir : EU looking into new possible side-effects of mRNA COVID-19 shots (reuters.com), 11 Août 2021.

Ordre reçu 5 sur 5 par François Krabansky, le « médecin » de la vidéo ci‑dessous. À la fin, il nous promet des millions de morts en france si tout le monde ne se fait pas injecter leur produit. Ces « médecins » qui prennent le covid (trois fois plus grave que la grippe), pour la peste ou pire …

Mobilisation nationale contre le pass sanitaire : « Il faut reprendre une politique de bon sens » — RT France — 2021
14 Août 2021

Pour l’état français, une médecin exerçant depuis 28 ans, connaissant certains de ses patients depuis 25 ans, ne vaut plus rien s’il ne se fait pas injecter un produit toxique : Elle arrête la médecine à cause du pass sanitaire : « On me l’impose » (leprogres.fr), 14 Aout 2021. Soit elle ne sera pas remplacée, soit elle sera remplacée par nécessairement moins bien, parce qu’on ne remplace pas des décennies de suivit. L’état français et la large majorité des autres « médecins », s’en moquent.

La situation actuelle prouve une chose sur le rôle que l’état donne à l’école : elle n’est pas censée donner à ses sujets les moyens de penser, comprendre et encore moins être indépendants et prendre des décisions, il vaut mieux pour lui qu’elle se contente d’inculquer juste ce qu’il faut pour recevoir des ordres et y répondre.

On est loin de l’école qui libère et permet d’accéder à l’autonomie. Après ça, on peut comprendre le déclin de l’école dont des audits se lamentent régulièrement et on comprend que l’état ne risque pas d’avoir envie d’y remédier.

Pour l’état, une école qui permet de comprendre et raisonner sur les choses, c’est un accident ou un problème, pas une chose qu’il souhaite.