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2023 a été une année record pour la substitution des énergies fossiles par du renouvelable, d’après l’Agence International de l’Énergie (IEA), rapporté par une certaine Ines Bouacida, chercheuse (lien dans le précédent long message sur l’hydrogène). Toujours d’après cette chercheuse, mais plus d’après l’IEA (à moins que), le pic de consommation des énergies fossiles devrait être atteint dans les deux ou trois prochaines années (à compter de cette année) et les investissement dans les énergies renouvelables ont déjà dépassé les investissements dans les énergies fossiles, ce qui est plutôt bon signe. Elle souligne quand‑même qu’il faudra réduire les consommations d’énergies et qu’il faudra faite des choix pour savoir quels postes de consommation d’énergie devront être considérés comme prioritaires sur d’autres, parce que les nouvelles sources d’énergies ne remplaceront pas le pétrole et la charbon abondants.
C’est sensé être une note optimiste, mais ça ne signifie pas non‑plus que c’est assez, sinon ça se saurait. |
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Il n’y aura pas de petit âge glacière en 2030, cette information erronée aura été le résultat d’une confusion entre l’activité des taches Solaires et l’activité thermique du Soleil : bientôt un nouvel âge de glace ? — Le Journal de l’Espace (youtube.com), 3 Novembre 2025.
Le précédent petit âge glaciaire local en Europe et aux Amériques du nord, était dut à des volcans, et leurs rejets de poussières dans l’air qui ont fait écran à une partie de la chaleur du Soleil. Les volcans ont beaucoup d’effet sur les conditions de vie sur Terre, peut‑être plus que les humains, quoiqu’ils ne causent pas de pollution autant indélébiles (comme avec les plastiques), mais leur activité est difficile à prévoir à long terme. Puis on a besoin d’ajouter un risque prévisible à un risque imprévisible. Il y a aussi des suspicions que des modifications des courants marins pourraient faire des hiver plus froids, mais ce n’est pas une nouvelle ère glaciaire non‑plus, puisque en même temps les été seraient plus chauds encore que maintenant, c’est à dire qu’on perdrait encore plus la caractéristique « climat tempéré » de nos régions. Il y aurait aussi 20 % de pluie en moins, alors qu’on en manque déjà. Mais ça se sont des prévisions pas très certaines aussi, pas des certitudes. À part les doutes sur les prévisions à long‑terme, les constats de ce qu’on vie actuellement, ne sont pas des prévisions, ce sont des réalités présentes et ça va au delà du climat et même au delà de l’environnement naturel, puisque c’est aussi social. |
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Deux plantes a peut‑être essayer, mais en faisant attention à ne pas en abuser en les prenant trop pour des aubaines.
Le miscanthus géant et le paulownia. Le miscanthus (apparemment plutôt le miscanthus géant), et entre les graminées et les bambous. De loin, il ressemble aux hautes graminées comme les roseaux, mais sa paille ressemble plus à un petit bambou. Il se content de sol pauvres, revient tout seul d’année en année via ses rhizomes (qui ne ressemblent pas à ceux du roseau). Sa paille brûle très bien et quand elle est hachée, elle fait des litières absorbantes. Une autre source que celle plus bas et ajoutée juste à sa suite, précise que sa densité étant faible, le miscanthus séché brûle vite, qu’il faut en faire des briquettes compactes, pour l’utiliser pour le chauffage. Mais là attention, un commentaire précise, que comme c’est le cas avec d’autres plantes séchées aussi, les pailles de graminées et les feuilles d’arbre, certains stades de cette combustion produisent de l’acide chlorhydrique, pas au point d’être un danger pour les humains, mais au point d’entraîner une altération accélérée de tout ce qui est métallique, incluant les aciers, fontes et inox (l’inox est vulnérable à tout ce qui est chloré). Normalement, il faudrait le brûler dans des foyers en céramique, foyer et conduit d’évacuation de la fumée compris, pas seulement le foyer ; sans ça, tout aura été gaspillé, surtout que les poêles, inserts et compagnie, coûtent très cher. La paulownia, est un arbre, sa floraison est abondante, dans les tons mauve, pourpre et lavande. Il a la réputation d’absorber beaucoup plus de CO2 que les autres arbres, ce qui est crédible, vu qu’il pousse vite. Le tronc peut atteindre 60 cm en 8 ans, ce qui fait vraiment beaucoup, il pousse encore plus vite que les noisetiers. Sont bois est résistant à la friction et à la flexion et peut servir à insonoriser. Le milieu des branches et du tronc, semble toujours creux, un creux d’environ le diamètre d’un crayon. Attention quand‑même avec l’absorption du CO2, qui pourrait demander à être vérifier. Il est maintenant connu, qu’avant un certain nombre d’années, les arbres émettent plus de CO2 qu’ils n’en absorbe, que c’est seulement plus tard qu’ils en absorbent plus qu’ils n’en émettent. Il faudrait vérifier ce qu’il en est avec la paulownia. Plantes d’avenir aux multiples débouchés, le miscanthus et le paulownia séduisent les agriculteurs — France 3 Hauts‑de‑france — 1 Novembre 2025 Miscanthus géant : l’herbe qui chauffe, énergie, paillage, litière et bien plus encore — Objectif ZeroCarbone — 25 Octobre 2025 Kelvallontan, internaute sur YouTube a écrit : […] Lien vers le commentaire complet : un commentaire sur YouTube de Kelvallontan à une vidéo de « Objectif ZeroCarbone » (youtube.com), 26 Octobre 2025 environ. En suivant ce lien, le commentaire apparaît comme commentaire sélectionné sous la vidéo. |
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L’installation de quatorze panneaux solaires, leur a coûté 15 000 €, ça peut aller jusqu’à 20 000 pour d’autres (sans savoir si c’est le coût de la pose seule ou si ça inclus le prix des panneaux). Il faut apparemment compter 12 ans ou un peu plus, pour amortir. Ça, c’est si ça se passe bien, parce que si les panneaux sont mal installés ou défectueux, il feront bien moins d’électricité que prévu. Il faudrait alors s’assurer que l’installation est garantie pour toute la durée qui permettrait de l’amortir, c’est à dire environ 15 ans par exemple. Et pour que la garantie soit elle même garantie, il faut que l’installeur n’ait pas eu un dépôt de bilan entre temps (qu’il ait été contraint d’arrêter son entreprise) et c’est difficile à prévoir.
À Dunkerque dans le nord de la france, avec six panneaux solaires, on peut espérer 2 550 à 2 850 kWh. À Toulon dans le sud de la france, avec les mêmes six panneaux solaires, on peut espérer entre 3 303 et 4 050 kWh. C’est à dire que dans le nord, on ne peut compter sur 68 à 70 % de ce qu’on pourrait avoir dans le sud. C’est moins, mais ce n’est quand‑même pas rien et on peut avoir autant en ajoutant un tiers de surface de panneaux solaires en plus. Angoulême, environ à la même latitude que Lyon, un peu plus vers sur le sud du pays que vers son nord, les panneaux solaires font une quantité d’énergie électrique environ dans la moyenne. À moins d’avoir beaucoup de panneaux solaires qui fonctionnent assez bien en toutes saisons, on ne peut pas espérer être autosuffisant en électricité, mais ça permet de consommer moins sur le réseaux du fournisseur habituelle. Typiquement, la facture d’électricité est divisé par deux ou deux et demi (ça dépend des usages, la climatisation en été en consomme beaucoup), certaines gens arrivent à divisé la facture par six, mais il faudrait vérifier si c’est réel ou ce sont des chiffres avancés par les vendeurs de solution solaire sans que ça ne les engage. Un avantage du solaire personnel (ou même de l’éolien personnel), surtout avec des batteries, et d’assurer de ne pas être entièrement sans électricité en cas de tempête qui mettent les lignes électriques hors d’usage, comme c’est par exemple arrivé pendant la tempête de 1999 et d’autres qui ont suivit depuis. Pour une batterie, il faut compter par exemple 7 000 €. Le problème du solaire est qu’il faut avoir une maison individuelle, je n’en voit jamais sur les HLM par exemple. Et justement, il y a une tendance compréhensible à décourager les maisons individuelles pour faire préférer les habitations collectives. Là, il y a une contradiction qu’il faudrait. Puis la plupart des gens habitent en ville, alors le solaire dans ces conditions, n’est pas pour ielles. La solution pour les gens vivant en ville, serait que pour les fournisseurs d’électricité se mettent au solaire ou à l’éolien. L’installation de panneaux solaires posent moins de problèmes que l’installation d’éoliennes. Mais où installé ces panneaux solaires ? Il ne semble pas y avoir d’installations en ville, alors que ça pourrait être une bonne idée, ça créerait des lieu à l’abri du Soleil pendant les canicules et même éventuellement à l’abri de la pluie qui les gens qui aiment passer du temps dehors où qui y sont contraint‑es. L’installation à la campagne risquerait se ferait soit au détriment certain de l’agriculture soit au détriment possible de la nature, à moins que les panneaux ne soient assez espacées pour permettre à la végétation de continuer à vivre là, mais le paysage resterait altéré. Il faudrait envisager les économies d’énergie d’abord. À défaut que les urbain‑es puissent avoir droit à des panneaux solaires comme on les comprends habituellement, peut‑être serait‑il intéressant d’envisager ce qu’on peut faire avec des petits panneaux comme on commence à en trouver ? Ils sont habituellement présentés comme solution pour recharger un smartphone, une tablette ou un ordi’ portable en mode nomade. Mais pourquoi pas, d’abord les utiliser à domicile à cette fin (à condition de pouvoir d’avoir un lieu assez exposé comme ça, comme un rebord de fenêtre, en surveillant la pluie), mais aussi, avec les éclairages LED qui sont maintenant devenus une norme Européenne, serait‑il possible aussi d’utiliser cette solution pour l’éclairage ? Ce serait déjà ça … Ce reportage d’une chaîne de télévision public, présente des détails pratiques, et la plupart des notes précédentes, en sont tirées : L’énergie solaire, vraiment une bonne affaire ? — France Info — 5 Novembre 2025 |
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Un jour, ce sujet sera réorganisé en plusieurs sujets. Depuis le temps, a fini par s’y ajouter la question de la transition énergétique, les questions d’adaptation au nouveau climat à venir (en rapport, mais qui n’est pas la question du changement lui‑même), et d’autres questions plus généralistes sur l’environnement et les modes de vie, comme la pollution et le consumérisme. Ce sera plus facile à lire et à suivre et moins brumeux, en plusieurs sujets séparés, en faisant quand‑même des liens entre eux.
Aucune date ne peut être donnée pour cette réorganisation, mais c’est juste pour dire qu’il faut être tolérant‑e en lisant ce sujet, pour le moment et filter soi‑même à la lecture. |
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La moitié de l’eau qui coule dans les fleuves en france, passe par les centrales nucléaire pour leur refroidissement.
D’après Emma Haziza, hydrologue systémicienne, dans la vidéo ci‑dessous. Elle y présente d’autres faits utiles à connaître, sur les changements du cycle de l’eau et ses conséquences pour la société. Crise de l’eau : comment s’y préparer ? — Tilt! — 4 Novembre 2025 Cette eau qui passe par les centrales nucléaires, n’est pas polluée, même si quelque fois elle pose des problèmes environnementaux quand sa température de retour dans le fleuve, est trop élevée (une petite partie est perdue par évaporation par les immenses cheminées). Ce n’est pas pour ça, elle le dit pour souligner à quel point l’électricité nucléaire, dépend de l’abondance de l’eau. Si un fleuve descend trop bas, les centrales nucléaires qui en dépendent, doivent être mise à l’arrêt pendant tout ce temps. |
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La crise mondiale de l’eau, a d’abord des causes politiques avant d’avoir des causes climatiques. D’après l’ingénieure mentionnée dans le message C’est donc la gestion de la ressource qu’est l’eau, qui l’a amené à se raréfier, seulement ensuite, le changement climatique est venu aggravé la situation. Elle parle de la situation globale, mondiale, de la ressource, pas des situations locales, qui peuvent varier. Elle parle surtout de la raréfaction de l’eau, pas des inondations, qu’elle n’attribue qu’au changement climatique. Les catastrophes que sont les sécheresses, ont les deux comme cause.
Les nappes aquifères ont été épuisé comme l’ont été les gisement de pétrole. Elle mentionne d’ailleurs que l’eau est parfois utilisée comme levier diplomatique, comme l’a souvent aussi été le pétrole. Contrairement aux fleuves, le renouvellement de l’eau des aquifères est très lent. L’eau peut être partiellement considérée comme une ressource non‑renouvelable ou seulement lentement renouvelables, selon son origine. Mais le détournement des cours d’eau est aussi mis en cause, comme l’accaparation d’une ressource en eau commune, avec les fleuves. On en a eu des exemple au Proche‑Orient, l’eau étant une cause du conflit entre Israël et la Palestine, mais pas seulement, partout dans le monde aussi. D’après elle, la région du monde la plus exposée, dont elle parle en combinant la crise de l’eau et les températures, est d’abord l’Inde ; c’est pour eux que la situation est la plus crique. Puis ensuite, l’Australie, l’Amérique du sud et l’Afrique du nord. Les autres, comme l’Amérique du nord et l’Europe, viennent après. À Mayotte, les cambrioleur–ses qui avant, ciblait surtout le matériel informatique, vidéo, etc, comme assez partout, maintenant ces cambrioleur‑ses visent les bouteilles. Des gens à l’arrêt en voiture, ont été menacés pour leur voler, non‑pas leur smartphone, mais une bouteille d’eau. C’est une anecdote qu’elle raconte, des témoignages qui l’ont marqué. |
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L’Europe se réchauffe 20 % plus rapidement que la moyenne planétaire. D’après Emma Haziza, hydrologue systémicienne.
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La transition énergétique vers le tout renouvelable est‑elle possible ?
Entre les affirmations d’ingénieur‑es et chercheur‑ses qui disent que le tout renouvelable nécessiterait qu’il y ait des éoliennes et des panneaux solaires partout, mais vraiment partout, et les gens qui me semblent honnêtes et qui eux disent que ces affirmations sont trompeuses et ne visent qu’à inviter à ne rien changer ou cache une promotion du nucléaire par dogme ou conflit d’intérêt. Comment s’y retrouver ? Mais il y a quelques jours, une idée peut‑être naïve mais semblant pertinente, m’est venue. En même pas deux siècles, on a presque entièrement épuisés les réserves de combustibles fossiles. Ces réserves, se sont constitués pendant des millions d’années. Elles ont pour origine, principalement les plantes, incluant les arbres, qui eux aussi, utilise le soleil pour faire du sucre, leur nutriment et énergie essentielle. Si on a presque épuisé des ressources constitué pendant des millions d’années, en même pas deux siècles, et que ces ressources proviennent finalement du soleil, alors comment peut‑on espérer exploiter plus durablement l’énergie du soleil maintenant, sans en plus en priver tout le reste de la vie sur Terre ? Cette estimation est peut‑être naïve, mais je serais surpris que cette piste ne soit pas à étudier. Dans tous les cas, ça confirmerait une fois de plus, qu’il n’y aura pas de solution sans faire des économies d’énergie et ça, ça ne nécessite pas de transition énergétique, tout en pouvant aider à la préparer. Ça nécessite des choix entre X et Y par exemple, comme préférer garder X en se passant de Y, justement pour garder X. |
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Les éoliennes sont une des trois principales causes du déclin des chauves souris en france et alors probablement en Europe : Re: Mammifères et autres espèces menacées en france.
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