Réchauffement ou pas : la querelle franchit la ligne jaune

Les notes des précédents messages sont tirées du documentaire ci‑dessous. Un documentaire qui rappel que les changement climatiques ont été nombreux pendant l’histoire humaine.

Le documentaire se termine par une note alarmiste sur le réchauffement climatique et sa cause supposée humaine. Mais on peut noter que les changement climatique désastreux ont plutôt été des refroidissement et que les réchauffements correspondent (souvent, mais pas strictement toujours) à des bonnes périodes, excepté le sud des Amériques ou une partie de l’Afrique.

L’avenir dira et l’origine du réchauffement dans une période chaude fait encore débat.

Quand le climat écrit l’histoire — Sigrun Laste — 2014
[Vidéo disparue]

— Édit du 2024-12-11 —

Sur la mise en balance par la longue histoire des changements climatiques, ce que ça dit mais aussi les bémols à cette mise en balance, voir aussi le message « Re: Réchauffement ou pas : la querelle franchit la ligne jaune » et aussi son édit du 2024-12-11.

Une étude a conclut que les plantes sur terre, produisent 30 % de plus de C0₂ qu’on ne le croyait jusque maintenant.

Maintenant il reste à trouver un prétexte pour dire que si les plantes émettent plus de CO₂ que prévu, ça vient d’une cause humaine. Sachant que les plantes, la phytomasse, représente 99% de la biomasse sur terre, et ce n’est pas une image, c’est le vrai chiffre, que leur effet est loin d’être marginal, j’en connais qui vont devoir beaucoup se torturer les méninges pour continuer à faire vivre le mythe des humains qui modifient le climat.

2017 exceptionnellement chaud : confirmation de la NASA et NOAA, Janvier 2018.

La période 1951 à 1980, est prise comme référence du climat mondial normal. À prendre comme référence, une période si petite et si récente comparée aux échelles de temps de la Terre, on ne peut que trouver des anormalités.

Ça ne me semble pas sérieux.

Comme dit précédemment, le CO₂ est bon pour la phytomasse (la biomasse représentée par les plantes). Cette interview en parle. Celui qui parle est Christian Gerondeau, ingénieur diplômé de l’École polytechnique et haut fonctionnaire. Il est interviewé par Radio Temporium.

Climat, l’échauffement des esprits — Radio Temporium — 2017


— Édit du 2024-10-14 —

Mais quand une plante trouve un nutriment à profusion, elle a plus besoin d’autres nutriment aussi, et s’ils ne suivent pas, la plante pousse mal ou est plus sensible aux maladies. Les plantes ne réagissent pas toute de la même façon, parce que selon les espèces, elles prennent un ou quelques nutriment comme référence, supposant qu’ils sont indicatifs de la disponibilité des autres et des repères ne sont pas les mêmes pour toutes les plantes. Ce qui fait que la plus grande disponibilité d’un nutriment peut être bon pour certaines plantes et mauvais pour d’autres.

D’après Christian Gerondeau, les hauts responsables du GIEC ne sont pas des experts en climatologie, mais des fonctionnaires représentant leurs pays respectifs.

Il fait remarquer que le GIEC s’appel à l’origine et en Anglais, IPCC, un sigle signifiant « Intergovernmental Panel on Climate Change », c’est à dire « Groupe intergouvernemental sur le changement climatique », qui a été trompeusement traduit en français par, GIEC, « Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat », le mot « experts » a été ajouté dans la désignation en français, mais le nom d’origine de l’organisation ne contient pas le mot « experts ».

— Édit du 2024-10-20 —

À ce propos, voir l’édit du 2024-10-20 de ce message : Re: Réchauffement ou pas : la querelle franchit la ligne jaune.

Sur une double manipulation en prenant les ours polaires à témoins sans leur demander leur avis : un exemple de manipulation d’image par Photoshop pour mentir sur la réalité et un exemple de mensonge sur la situation d’une espèce qui au contraire de se porter mal ne s’est jamais aussi bien porté : Écologie — l’ours polaire et sa doublure médiatique (contrepoints.org), 2015.

Pendant que des discours alarmistes nous annoncent la désertification à nos portes, la forêt française n’a jamais été aussi vaste depuis longtemps. Il y a actuellement autant de forêt qu’au moyen‑âge, la surface forestière ne fait qu’augmenter depuis 200 ans. Leur croissance est même favorisée par le CO₂ de l’atmosphère.

J’avais aussi oublié de rapporter que la population des ours polaires ne fait qu’augmenter elle aussi, pendant que des discours alarmistes nous parlent de leur disparition prochaine.

— Édit du 2024-10-14 —

Mais la diversité des espèces d’arbres dans les forêts, est importante aussi. Beaucoup de forêts ne contiennent qu’une espèce trop majoritaire. Il est difficile de se renseigner sur la diversité des espèces dans les forêts, parce que les critères pour qu’une espèce soit compté, peuvent parfois donner à tord l’illusion d’une diversité plus faible qu’elle ne l’est réellement, malgré que le manque de diversité soit parfois un problème.

Un documentaire sur la recherche d’un volcan, le Samalas, ayant produit un brusque refroidissement planétaire en 1258, suite de son éruption de 1257. L’éruption a duré environ sept heures, mais les conséquences ont perduré plusieurs années et ont bouleversé l’histoire.

Le mystérieux volcan du moyen‑âge — Pascal Guérin / ARTE — 2017
[Vidéo disparue]

Il y a environ 4 200 ans, peu après l’époque d’une princesse nommée Enheduanna, la Terre a connu une sécheresse assez globale, qui a mis à mal la civilisation de Mésopotamie (celle de cette princess), et les civilisations naissantes d’Égypte, de Grèce, d’Inde, du Pakistan et de Chine.

Pendant la majeure partie du 13ᵉ siècle et le début du 14ᵉ siècle, l’Angleterre connaissait un climat qui avait quelque chose de Méditerranéen.