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Auteur | Message |
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Administrateur
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Dans l’affaire du diesel‑gate, un scandale de tricherie dans l’industrie automobile, la victimisation gynocentriste a été l’alibi de choix pour se débarrasser des employés gênants qui parlaient trop ou posaient trop de questions, accusés d’harcèlement ou menaces sur des employéEs. Voir le documentaire posté dans cet autre sujet : Trois autres scandales dans le diesel‑gate, l’affaire des diesels tricheurs.
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Administrateur
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Il avait été fait remarquer, que la différence de liberté vestimentaire entre les femmes et les hommes, ressemblent beaucoup à la traditionnelle différence vestimentaire entre les classes sociales (moins contemporain). Un mini‑documentaire revient sur ce point sans faire le lien et en dit plus.
Les différences vestimentaires forcenées imposées par les normes sociales, sont récentes. Elles sont apparues vers la fin du XVIIᵉ ou le début du XVIIIᵉ et se sont cristallisé dans le courant du XIXᵉ, d’abord en Angleterre, puis en france. C’était il y a 200 ans environs, ce qui est récent pour l’histoire connue qui s’étale sur environ 3 000 ans. Jusqu’à cette époque, les gardes robes étaient les mêmes quelque soit le sexe, qui ne se distinguait que par les outils et accessoires utilitaires portés à la ceinture. Mais une différence existait entre classes sociales. Les classes sociales dites « supérieures » pouvaient se permettre la diversité des matières et des colories, comme les femmes de nos jours et les classes sociales dites « inférieures », n’avaient que des options plus limitées et pas de couleurs, comme les hommes aujourd’hui. Note : cette différence n’était pas qu’une question de moyen, si un paysan s’habillait comme la noblesse, il pouvait le payer cher de sa personne. Une explication donnée au changement survenu plus tard, est l’invention des boutons, qui a permis des coupes plus ajustées à l’anatomie. Mais ça ne tient pas, comme ça n’explique que les coupes, par le reste. Une seconde explication existe et me semble plus pertinente. Les classes sociales dites « supérieures » qui se sont trouvées menacées par les classes sociales dites « inférieures », ont voulut se distinguer de leur prédécesseurs, en abandonnant leur style flamboyant. Ce serait pour ne pas trop réveiller les foudres du peuple, que les classes sociales dirigeantes, auraient opté pour des styles austères dans les coupes et sans couleurs, un phénomènes qui a plus touché les hommes que les femmes. La fin du mini‑documentaire fait croire que des gens s’intéressent à casser ces conventions, mais ce n’est pas crédible, comme il s’agit de mode que personne ne porte ou alors réservée aux classes sociales dites « supérieures », comme dans le passé. En marge, je trouve de plus, les exemples montrés à la fin, pas engageant ; des artistes comme David Bowie ou un peu quelques fois Elton John (s’il en existe d’autres, je ne les connais pas), avaient plus de goût. Entre l’absence de liberté et l’extravagance, il y a une large gamme ou il faut l’espérer. Documentaire dédié à tous ceux qui ont parfois jusqu’à presque la nausée en passant dans les rayons vêtements hommes (les sous‑vêtements, sont une autre question, mais c’est une catastrophe aussi, voir parfois des horreurs). Pourquoi la mode masculine est-elle si sombre ? — France Culture — 21 Octobre 2022 Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Juste pour rire.
Les chiennes de garde aboient (*), la caravane passe. (*) Une organisation féministe s’est elle‑même baptisé ainsi. Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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Faux souvenirs : quand notre mémoire nous leurre (athena-magazine.be), Mars 2019.
L’article a écrit : La question des faux souvenirs ne commença vraiment à attiser l’attention des chercheurs en psychologie qu’avec l’émergence des conceptions constructivistes. Mais l’élément le plus déterminant à l’origine de l’intérêt suscité par cette problématique fut sans conteste un phénomène troublant connu aujourd’hui sous le nom de «guerre des faux souvenirs». De quoi s’agissait-il ? D’une «épidémie» soudaine de souvenirs retrouvés d’abus sexuels subis par des femmes durant leur enfance. Elle disloqua des milliers de familles aux États-Unis, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas et en Nouvelle-Zélande. Le même article a écrit :
Lors d’une séparation conflictuelle au sein d’un couple de parents, la suggestibilité de l’enfant peut déboucher sur des témoignages erronés fondés sur de faux souvenirs et ce, soit en raison du climat ambiant, soit à la suite d’une manipulation orchestrée par l’un des parents. […] Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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Les goûts et les couleurs n’ont pas de sexe (du moins, pas à être imposé).
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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La misandrie est autant de la misogynie que la misogynie est de la misandrie. Il n’y a que les sexisme tout‑court.
Illustration : une publicité aperçue dans un centre commerciale, montre une femme frappant un homme ; une homme la trouve spontanément misandre et plus précisément, à l’image de la misandrie institutionnalisée de la société occidentale ; mais une femme la trouve spontanément misogyne. Pourquoi ? C’est simple : mettez‑vous à sa place ! Imaginez que la publicité ait représenté une homme frappant une femme : ne l’auriez‑vous pas trouvé malsainement misandre ? Cette publicité banalise que l’homme est une victime, mais elle banalise autant que la femme soit une coupable. Remarque : cette publicité n’a visiblement pas été interdite pas le CSA. Pourquoi ? C’est une illustration parlante qu’il n’y a que le sexisme tout‑court (et un mouvement anti‑sexiste ne peut pas s’appeler féminisme, puisque le terme lui‑même trahit un sexisme). Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Bavard impénitent
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La misandrie, c'est un terme qu'on rencontre pas souvent
N'oublions pas que la mission d'un publiciste est de marquer, voir de choquer pour graver le message. J'écoute souvent les vidéos de féministe et d'autres femmes qui le rejettent. J'ai comme l'impression que chaque femme a des attentes différentes finalement. Et puis une femme comporte ses propres contradiction. Ce que tu donne en exemple au début de ce fil, le résume assez bien: "je veux l'égalité mais je veux aussi un traitement différencié" |
Administrateur
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Une citation intéressante pour deux faits qu’elle relève :
L’article ci‑dessous a écrit : Société, culture, tradition ne sont pas des apports extérieurs, servant à la manipulation d'un sujet antérieurement complet et libre, mais des données profondes, constitutives de celui-ci, sur lesquelles cependant il dispose d'un certain pouvoir d’invention et de re‑creation. L'idée d'«égalité», au nom de laquelle on essaye de rejeter toutes les données traditionnelles, est aussi une donnée culturelle et traditionnelle. L’article : L'homme et la femme, partenaire égaux? (e-periodica.ch) [PDF], résumé d’une conférence de Jeanne Hersch, publié par le magazine Femmes Suisses, le 8 Janvier 1975. Du même article, une autre remarque intéressante, en précisant que c’est une féministe qui l’écrit : L’article a écrit : II suit de ce qui precede que lorsqu'on s'interroge sur la condition feminine, on se trouve aux prises avec un emmêlement des problèmes qui lui sont propres avec ceux qui se posent aujourd'hui pour tous les êtres humains. Et une troisième citation qui va faire réagir : L’article a écrit : et si un jour, comme certains signes I'annoncent, I'homme, lui, en venait à contester la nécessite ou la légitimité du travail professionnel - pour lui-meme?? Étrangement (ironie), on ne voit en effet aucune féministe le revendiquer (le double point d’interrogation est tel‑quel dans l’article). En rappelant que l’article date de 1975 … Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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