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Auteur | Message |
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Administrateur
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Ce qui manque dans les arbres taxonomiques, c’est une référence vers les traits distinguant les branches entre elles. Ces informations existent probablement quelque part ; reste à en trouver des sources.
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Administrateur
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En parlant de classifications, une « anecdote » utile à noter, est qu’il est fréquent que le nom d’un genre ressemble beaucoup à celui d’une famille au point de les confondre et qu’il arrive assez fréquemment que le nom d’une sous‑espèce soit le même que celui d’une espèce : Re: Plantes sauvages comestibles.
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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Normalement, le nom botanique d’une espèce s’écrit comme Genre espèce. Quelques fois pourtant (et c’est plutôt une erreur de le faire), le nom est écrit en trois mots, comme par exemple Prunus domestica syriaca. Dans ce cas, le troisième mot est le nom d’une sous espèce. Ainsi, le précédent exemple est à lire comme (et devrait être écrit comme) Prunus domestica subsp. syriaca.
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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Dans les noms botaniques, un croisement peut être indiqué par un x. Par exemple : Thymus cherlerioides x vulgaris pour le thym Duftkissen.
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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Dans les noms botaniques, les variétés sont parfois notées entre guillemets simples (apostrophes), la variété commençant par une majuscule. Ex: Salvia elegans 'Tangerine' au lieu de Salvia elegans var. tangerine. La première notation, plutôt incorrecte, se trouve sur les sites de jardinerie en ligne ; il faudrait éviter de l’utiliser dans les bases de données.
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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Un site sur les qualités nutritionnelles des végétaux cultivés dont certains sauvages : Fiches nutritionnelles (aprifel.com).
Par exemple, pour le pissenlit : Pissenlit (aprifel.com). Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Bavard impénitent
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Merci pour le lien, on apprend des quantités de choses!
Le pissenlit, mon lapin nain en raffolait |
Administrateur
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La classification de Cronquist, est la dernière classification traditionnelle a avoir été mise en œuvre et publiée, avant que ne vienne la phylogénétique. Sa classification n’est pas tant ancienne, elle date des années 1970-80 et la classification phylogénétique a commencé à prendre de la place en botanique, vers la fin des années 1990.
Pour anecdote illustrative, dans la classification phylogénétique, le quinoa fait partie de la famille des amarantes, et dans la classification de Cronquist, il fait partie de la famille des chénopodes. Ors, justement, les feuilles du quinoa ressemblent beaucoup à celles des chénopodes et sont différentes de celles des amarantes. C’est justement pour cette raison que le quinoa est rapproché des chénopode par la classification de Cronquist. La phylogénétique dit que la quinoa appartient à la famille des amarantes, bien que ses feuilles et ses épis ressemblent plus à celles des chénopodes. Je crois personnellement qu’il ne faut pas confondre relations phylogénétiques et liens de parentés génétiques et que la classification de Cronquist est peut‑être toujours pertinente, si ce n’est peut‑être parfois plus. Mais ce n’est qu’une idée intuitive qui demanderait à être étudiée … c’est peut‑être même une fausse bonne idée, d’ailleurs (ou pas, mais bon, bref, à étudier un jour). Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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