Jardinage : supports de culture et cultures

Sur les petites lignes de petits pois, il y a quelques jours, j’ai vu des petits trous. Je crois que soit des graines soit des pousses ont été chipées par une petite souris ou un oiseau. J’en ai ai remis.

Je crois que le basilic et le céleri auraient été mieux, semés en pleine terre. Mais qui sait comment ça aurait été s’il n’y avait pas eu cette accident avec les plaquettes où tout tendait à jaunir d’un coup. Ça va mieux depuis que ça a été repiqué, mais ça va lentement, c’est encore tout petit.

Je trouve que les espaces indiqués sur les sachets de graines, font des lignes trop rapprochées, même pour les carottes. L’espace entre les plantes sur les lignes, ça va déjà mieux, mais trop rapproché aussi pour les betteraves.

Je donnerai plus tard les mesures du jardin, pour donner une idée et dire ce qu’il me semble, conviendrait mieux.

Pour une raison étrange ou pas, certaines carottes ont eu leurs fanes coupées net à la base. Je les ai récolté pour ne pas les perdre, et certaines sont de gros calibre : 700 g, les cinq carottes .

Je me demande si ce ne serait pas un écureuil, il y en a deux pas loin. Des petits pois qui germaient ont été extrait, ne restaient que des petits trous à la place et un panais a aussi eu ses feuilles coupées net à la base, étrangement laissées sur place comme avec une des carottes.

J’imagine mal une souris faire ça. Un lapin aurait déterré les carottes, alors peut‑être un écureuil. La souris rousse et noire, je crois qu’elle mange des feuilles de liseron, c’est pas une blague, je l’ai vu en récolter.

La variété, c’est Chantenay à Cœur Rouge, mais elles ne sont pas rouges au cœur chez moi, même si elles ont tendance à être rouge‑violacé dans la partie qui dépasse de terre.

Je vais rester sur cette variété, elle me plait bien, même si j’en essaierai peut‑être d’autres les années suivantes.

J’avais choisi cette variété parce qu’elle est censée faire une racine conique, et que je trouvais ça commode dans une terre où il y a beaucoup de cailloux. Mais finalement elles sont plus allongées que coniques.

Je ne sais pas si c’est à cause des cailloux et des rhizomes de roseaux restés dans le sol au milieux desquels elles ont poussé, quelque pommes de terre ont assez une forme de poivron.

Pour les associations de cultures, il est souvent conseillé de ne pas mettre ensemble des plantes de la même famille. Je me demandais si c’est vraiment toujours vrai, comme j’envisage l’année prochaine, de mettre ensemble les panais et les carottes. Avant‑hier j’ai justement remarqué que quelque part, poussent ensemble des panais sauvages et des carottes sauvages, et les deux ont l’air de bien se porter.

Je crois que ce conseil de ne pas mettre ensemble des plantes de la même famille, n’est pas fondé. D’ailleurs les prunus poussent souvent ensemble dans les mêmes haies, les variétés de pommiers aussi, et les arbres sont quand‑même des plantes aussi.

J’ai pesé des carottes parmi les plus grosses, elles sont entre 230 et 240 g chacune.

Il est préférable de laver les carottes le jour où elles ont été récoltées ; quand elles ont commencé à ramollir, elles sont plus difficiles à nettoyer, la terre y laisse des traces sombres indélébiles.

En même temps, les laver, fragilise l’épluchure et elles ne se conservent plus. Mieux vaut encore des traces indélébiles noires ou violacées plutôt que des carottes qui se décomposent.

Il y a des sortes de grosses larves blanchâtres dans la racine de certaines carottes. Mais ça n’a pas l’air endémique, par exemple je peux trouver qu’un carotte a été attaqué tandis que les carottes voisines à quatre ou cinq centimètres sont indemne.