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Jardinage : supports de culture et cultures
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Sam 22 Aoû 2020 20:20
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
La bette, comme la betterave rouge, a un optimum de germination à 20-30 ℃, plus élevé que son optimum de végétation à 15-18 ℃. Son zéro de germination est à 10 ℃.

Pour rappel, pour la betterave rouge, l’optimum de germination est à 25-30 ℃ et l’optimum de végétation est à 16-24 ℃. Ses plages de températures sont proches de celles de la bette, mais la betterave rouge préfère un peu plus de chaleur.

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Sam 22 Aoû 2020 21:03
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
La chicorée sauvage peut germer à 15-28 ℃, mais préfère 20 ℃ environ. Il y a un manque d’information sur sa résistance au gel, mais il semble sûr qu’elle résiste à -5 ℃ au moins.

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Dim 23 Aoû 2020 00:36
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Avec la pimprenelle, vu son port en touffe basse, ronde et étalée, il devrait être possible d’associer certaines fleurs de prairie, colorées, à port haut mais pas trop et à faible envergure, comme le silène rouge (le compagnon rouge, son vrai nom), la marguerite, la cardamine des près (qui fleurit tôt au printemps, seulement), et d’autres. Mais ça ne sera pas testé l’année prochaine, car aucune de ces graines n’ont été récoltées cette année (à moins qu’il ne soit pas trop tard).

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Dim 23 Aoû 2020 13:46
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Une manière de créer une file d’attente des semis, qui sera testée à compter de dans une ou deux semaines, jusqu’au printemps prochain. Les premières conclusions pourront être faites vers fin‑Février ou fin‑Mars 2021.

Pour chaque espèce, déterminer si elle est annuelle ou bisannuelle ou vivace. Si elle est dans plusieurs de ces catégories en même temps, considérer qu’elle est dans la catégorie la plus à droite dans l’ordre plus haut. Par exemple si une plante peut être annuelle ou bisannuelle, la considérer comme bisannuelle.

Pour chaque espèce, déterminer par des recherches, son optimum de germination et si possible son optimum de végétation. Ces optimum sont des plages de températures. S’il n’y a pas de plage mais une seule température, considérer que la borne basse et haute de la plage, sont toutes deux égales à cette température. L’optimum de végétation n’est pas nécessaire, mais utile, le caractère annuelle, bisannuelle ou vivace, est plus important.

Exemples :

  • Alliaire, B, 10-20, 10-20.
  • Amarante, A, 20-25
  • Bette, B, 20-30, 15-18.
  • Mauve, V, 15-15

A, B et V correspondent à Annuelle, Bisannuelle et Vivace. Les M-N sont les plages de température, d’abord l’optimum de germination puis l’optimum de végétation, qui est optionnel.

S’il y a beaucoup d’espèces (57 espèces dans mon cas), ça peut être long, comme il n’existe pas de source d’information renseignant sur les plages de températures de toutes les plantes. Parfois il n’existe pas de source, parfois il en existe plusieurs qui ne sont pas d’accord entre elles, il faut souvent essayer de déterminer celles qui sont les plus probablement correctes, quand il y a plusieurs sources ; connaitre ces plantes, les avoir observé au cours de plusieurs années, peut aider. Plusieurs exemples de plages de températures ont été rapportés précédemment dans ce sujet.

Typiquement, pour les bisannuelles, la plage d’optimum de végétation est en gros égale ou plus basse que la plage d’optimum de germination, mais il peut y avoir quelques exceptions, comme avec l’oignon. Pour les annuelles, c’est typiquement l’inverse, la plage d’optimum de végétation est en gros égale ou plus haute que la plage d’optimum de germination. Ça peut indiquer si certaines plages sont peut‑être à vérifier. Pour les vivaces, c’est variable.

Quand la liste est ainsi constituée et les champs renseignés, grouper d’abord les bisannuelles, puis les vivaces, puis les annuelles, en listant les trois groupes dans cet ordre.

L’ordre des groupes est ainsi, parce que seront d’abord semées les bisannuelles, qui passent l’hiver et les vivaces, qui comme elles passent l’hiver aussi, peuvent être traitées comme des bisannuelles à cet égard. Les annuelles, qui ne passent pas l’hiver, sont semées en dernier, en première partie d’année suivante. Certaines vivaces pourront être finalement semées en première d’année suivante, comme des annuelles, surtout si leur plage d’optimum de végétation est plus haute que leur plage d’optimum de germination ; mais il est d’abord tenté de les semer en dernière partie d’année, comme des bisannuelles, pour profiter de l’humidité du sol et de la quasi‑absence de risque de grosse chaleur.

Posons que la borne basse de l’optimum de germination est notée OG1 et la borne haute, OG2. Trier le groupe des bisannuelle par OG1 décroissant. Quand c’est fait, si plusieurs OG1 sont identiques, trier ces sous‑listes par OG2 décroissant. S’il y a des OG1-OG2 identiques, trier ces sous‑sous‑listes par ordre alphabétique par exemple.

Faire de même avec le groupe des vivaces.

Faire de même avec le groupe des annuelles, mais en utilisant un ordre croissant au lieu d’un ordre décroissant, pour les températures.

Ces listes ainsi triées, ne donnent pas directement de date de semis, et c’est volontaire. Mais en voyant les plages d’optimum de germination, et en consultant des historiques météos des années précédentes, on peut avoir une idée de dates approximatives auxquelles ces plages correspondent bien. C’est pour cette raison que sont d’abord placées les bisannuelles par températures décroissantes (les températures décroissent en dernière partie d’année), puis de même pour les vivaces, puis les annuelles par températures croissantes (les températures croissent en première partie d’année).

Au lieu d’avoir des dates fixes, les températures sont observées au jour le jour. Les plantes sont prises dans l’ordre, dès fin‑Août ou début‑Septembre. Si depuis quelques jours, les températures sont dans l’optimum de germination d’une plante, elle est semée. Si l’optimum de germination est trop haut pour les températures actuelles, alors voir si les températures du moment sont dans l’optimum de végétation, et si oui, le plante est semée aussi. Si ça ne correspond toujours pas et que la plante est une bisannuelle, c’est peut‑être que le plante n’est pas adaptée au climat local. Si ça ne correspond pas et que la plante est une vivace, la déplacer dans la liste des annuelles. De même, déplacer aussi, si pour une raison ou une autre, le temps manque pour faire certains semis de la liste des vivaces. Faire ainsi en suivant en même temps la liste des bisannuelles et la liste des vivaces, comme si elles étaient virtuellement fusionnées.

Bien plus tard, faire de même avec la liste des annuelles, dès Février, excepté qu’il faut voir si les plages sont trop basses pour les températures actuelles, au lieu de trop hautes.

Chaque fois qu’un semis est fait, noter le date exacte du semis et noter pour chaque espèce, les dates des observations, comme l’apparition des deux feuilles initiales (ou de l’unique feuille initiale, pour les monocotylédones), l’apparition des premières vraies feuilles (les feuilles non‑issues des cotylédons), de même pour les autres événements importants. Il sera intéressant de noter aussi les températures ambiantes au moment de la végétation, pour voir si le stade végétatif se fait à un moment où les températures sont dans l’optimum de végétation, où si la levée a été trop rapide ou trop lente pour que le stade et les températures ambiantes soient synchrones.

L’année suivante, réutiliser les mêmes dates de semis et noter les nouvelles dates des événements, et voir si les différences de températures qu’il ne manquera pas d’y avoir, raccourcissent ou rallongent les durées entre deux événements de la végétation. Ces observations, pourront permettre de corriger les plages de températures optimales.

En marge, il est utile d’avoir prévu le plan d’implantation des cultures, avant tout, c’est à dire avoir prévu sur quelles portions et proportions de bandes seront semés quoi ou quoi. Il n’est pas nécessaire de bêcher toutes les bandes avant de commencer les semis, il est possible de bêcher une portion de bande seulement juste avant de la semer.

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Dim 23 Aoû 2020 16:07
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Habituellement, les bisannuelles sont cultivées comme des annuelles. Une des raisons à ça, et que la montée en graines de plusieurs bisannuelles, les rend impropres à la consommation (ex. racines trop vidées ou trop ligneuses ou feuilles appauvries par les transferts vers les graines). Il y a peut‑être d’autres raisons liées au fait que dans les décennies passées, les printemps étaient typiquement plus frais et plus humides.

La raison, dans le message précédent, de semer les bisannuelles en bisannuelles (au lieu d’en annuelles), c’est après l’été, y compris les vivaces (qui devraient bien s’y prêter), et de leur faire commencer leur végétation dans des conditions plus favorables que celles rencontrées pendant les printemps actuelles (et encore plus après le printemps), trop tôt trop chauds et surtout trop tôt trop secs. Le résultat pourra être bon ou mauvais, il faut le tester pour le savoir, le deviner à priori ne donnant pas une réponse assez certaine.

Il y aura trois exceptions : l’avoine, le lupin et les pois.

L’avoine est naturellement vivace, mais se sème normalement au printemps, surtout si c’est une variété de printemps. La raison de tenter un semis en automne, est de voir comment ça influera sur la production de grains, comme l’expérience de nombreux agriculteurs, montre qu’une céréale fait d’autant plus de grains qu’elle a connut des périodes froides (mais pas plus que ce qu’elle peut supporter, ce qui dépend de son stade de végétation).

Le lupin est naturellement une annuelle. Il sera quand‑même tenté d’en semer en automne, parce que son cycle est long, ce qui ne peut que lui faire connaître l’été, alors qu’il n’aime pas les températures même modérément élevées, qui dès au delà de 22 ℃, lui sont déjà préjudiciables.

Le pois aussi, est naturellement une annuelle. Comme dit précédemment, il sera tenté d’en semer en automne, pour lui faire éviter la période des bruches, qui s’activent dès que les journées rallongent et qu’il fait environ au moins 20 ℃. Ce test est sans trop d’espoir, il va être très délicat de faire passer l’hiver à des pois, mais les bruches sont un tel problème que ça mérite d’être essayé. Même si la production de pois est réduite par cette méthode, le total pourrait être plus important qu’avec une production plus importante mais détruite à 90 % par les bruches. Si cette solution fonctionne, elle permettra de faire une plus grande surface de pois, ce qui serait bon, parce que les pois, c’est miam et ils peuvent avoir un rôle similaire aux trèfles comme source d’azote.

Ce sont trois exceptions, mais tous les autres semis qui seront faits en automne, sont des tests aussi, même s’ils sont moins aventureux, car plus en accord avec le cycle naturel de la plante.

Dans tous les cas, il faut s’assurer que le semis d’automne laisse assez de graines pour éventuellement refaire le même semis au printemps, au cas où ça se passerait mal. Comme il est toujours prudent d’avoir des graines en réserve dans tous les cas, il faut aussi s’assurer qu’il en resterait encore assez après une éventuelle répétition du semis au printemps (ça a déjà été dit, mais c’est important à rappeler).

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Dim 23 Aoû 2020 22:38
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Les sangliers aiment trop le maïs.

Mauvaise surprise aujourd’hui. J’ai constaté que tous les pieds de maïs portant des épis, ont été cassé. De loin, j’ai d’abord cru à du vandalisme, mais de près, j’ai compris que c’était des sangliers. Tous les épis portant des grains, avaient été rongés, il n’y restait plus que quelque grains. Pas de traces de leurs ongles assez nettes et lisibles sur le sol, mais plus loin, des traces typiques que les sangliers laissent en fouillant la terre.

Ils n’ont rongé que les épis avec des grains presqu’à maturité. Ils ont laissé quelques traces d’incisive dans les épis encore verts mais les ont dédaigné. Ils n’ont pas mangé les feuilles et les pieds de maïs encore tout verts, ayant à peine fleurit car semés tard, ont été épargné.

Ils n’ont pas touché aux quelques mauves, ni aux amarantes, ni à autre chose. Les chicorées qui sont en graines et donc ligneuses, ne les ont pas intéressé comme à leur précédent passage en Mai.

Ils semblent tellement aimer le maïs, vu comme ils ont méticuleusement mangé presque tous les grains, que je crois que pour éviter de les attirer, il faut éviter de cultiver du maïs là où il leur arrive de passer. Le test de culture de maïs prévu ailleurs, est maintenu quand‑même. Dans cet autre endroit, je me suis plusieurs fois trouvé en face à face quelques secondes, avec des chevreuils et des biches, mais je n’y ai jamais constaté de passage de sangliers. J’ignore si les chevreuils et les biches aiment aussi le maïs ; la réponse sera connue l’année prochaine.

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Mar 25 Aoû 2020 12:41
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
L’amarante réfléchie semble plus précoce que l’amarante hybride. Il faudra quand‑même attendre le semis du début d’année prochaine, pour le confirmer.

Je parle de la précocité de l’apparition des épis.

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Mer 26 Aoû 2020 13:24
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Les graines de pariétaire officinale, sont toutes petites noires brillantes, tellement lisses et brillantes qu’on croirait voir des petits insectes, même à la loupe de bureau.

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Ven 28 Aoû 2020 16:15
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Le rendement du pois‑chiche.

Testé sur une toute petite surface de 0,7 m², 122 g a été récolté (tardivement décortiqué, mais récolté vers fin‑Juillet, de mémoire), soit environ 175 g/m². Pour l’agriculture conventionnelle, le rendement typique est de 27 q/ha, soit 270 g/m². La variété semée, dont je ne connais pas le nom, était à petits grains, achetée en boutique d’alimentation bio. La taille des grains peut expliquer la différence, mais en oubliant pas qu’il ne faut pas prendre les rendements de l’agriculture conventionnelle comme des objectifs et encore moins comme des normes, les méthodes n’étant pas les mêmes.

175 g/m², ce n’est pas beaucoup, mais pas sans intérêt. L’année prochaine, sera tenté de semer une variété à gros grain, plus courante dans la grande distribution, pour comparer.

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Ven 28 Aoû 2020 16:36
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
Les haricots verts semés le 28 Juin, sont arrivés au stade de la première récolte après environ 50 jours au lieu de 60 jours pour les haricots verts semés le 4 Mai. Cette première récolte est nettement plus faible qu’avec ceux du 4 Mai : 1 kg 160 pour 5 m de bande au lieu de 4 kg 420 pour 4 m de bande. Ils ont été semés sur trois lignes au lieu de quatre, mais ça ne peut pas expliquer l’importance de la différence (quatre fois moins), surtout que la longueur de bande est plus importante. En 2019, un premier test de haricots verts avait été fait, autant tardif, et la récolte m’avait semblé faible aussi. La faiblesse de la récolte semble être un effet du semis tardif.

Exactement, les gousses sont nettement plus courtes, […]

C’était à propos d’une récolte du 17 Août. La seconde récolte qui a eu lieu le 26 Août, a montré quelques gousses de longueurs normales (les autres, moins trop courtes, même si encore trop courtes), pas en grand nombre, mais assez pour prouver le bon effet des températures devenues moins trop chaudes. Le ratio entre la seconde et la première récolte, était de deux fois moins, alors que pour les récoltes issues du semis de Mai, ce ratio était d’environ cinq fois moins, ce qui en plus de la longueur des gousses, prouve encore l’effet de la température. Il n’est pas impossible que la troisième récolte soit meilleure que la seconde, pour la même raison (surtout que les fleurs ayant fait les haricots de la seconde récolte, avaient encore connut des températures trop élevées), mais il faut attendre, ce n’est pour le moment qu’une prévision.

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