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Jardinage : supports de culture et cultures
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Ven 2 Juil 2021 08:15
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Retour sur le quinoa : échec et idée de lui substituer le chénopode blanc.

Le test de germination fait pendant l’hiver, montrait que le quinoa germe rapidement, en 24h à peine et que son taux de germination est élevé.

Le semis en pleine terre a été pourtant décevant. Malgré une bonne germination, peu de pousses se développaient et subsistaient. Vers fin‑Mai, ne restaient que 6 pieds, malgré un second semis s’ajoutant au premier.

Avec le temps, les autres pieds ont dépérit. Il n’en restaient plus que deux. L’un des deux restant est tombé sous le poids de la pluie d’il y a quelques jours.

Les pieds qui ont dépérit semble avoir été victime d’une maladie fongique. Les pieds de quinoa, avant de disparaître, montraient une grande ressemblance avec le chénopode blanc, au point d’être difficile à distinguer. Les chénopodes blancs, apparus spontanément, présentaient les mêmes signes de maladie du feuillage que les quinoas. Mais ces chénopodes semblent y avoir mieux résisté.

La seule différence d’aspect entre le quinoa et le chénopode blanc, est la forme et la couleur de l’inflorescence : verte et irrégulièrement allongée pour le chénopode blanc, rosée et globuleuse pour le quinoa.

Si le chénopode blanc pousse mieux, si le quinoa est quasiment la même plante que le chénopode blanc, peut‑être vaudrait‑il mieux cultiver ce dernier. Il faudra avant‑tout avoir une idée de la récolte de graines qu’il est possible d’en faire.

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Ven 2 Juil 2021 08:20
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
Le cresson alénois fait des fructifications en forme de petites lentilles vert pâle.

Même s’il est trop densément semé pour faire des feuilles, il fructifient beaucoup et ses fruits contenant des graines pas encore mûres, ont un goût prononcé, proche de la moutarde.

Il y a donc au moins deux manières de le cultiver : peu dense, pour une récolte de feuilles, dense, pour une récolte de ces petites lentilles.

Il ne faut pas les récolter trop tôt, sinon elles sont difficiles à détacher par égrènement. Elles se détachent au mieux quand elles commencent à devenir presque blanche, au moins par contraste en comparaison du reste.

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Ven 2 Juil 2021 08:22
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
L’amarante à épis doux, comme je l’appel, lève mieux et plus régulièrement que l’amarante à épis rêche, l’amarante réfléchie de son vraie nom. Reste à voir ce qu’il en est de la récolte de graines.

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Dim 4 Juil 2021 15:53
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Avec le colza, peut se poser le problème d’une maturation non‑simultanée des siliques.

Je ne sais pas si c’est un effet de la transplantation ou pas, alors il faudra attendre l’année prochaine, pour voir sur le colza qui sera semée normalement dans le courant de deuxième quinzaine d’Août et qui ne sera pas déplacé, cette fois.

Alors que le colza a fleurit en même temps que celui des champs de colza des agriculteurs, les siliques n’ont pas mûrît au même rythme. Un bon nombre de siliques étaient déjà assez mûrs depuis au moins une semaine, assez pour que certains s’ouvrent tout seul. Pourtant, les champs de colza n’ont pas encore été récolté. En même temps que la plupart de siliques sont mûrs, beaucoup sont encore verts. Dans les champs de colza, ils sont tous environ au même stade, jaunes.

Ça pose un problème pour la récolte des graines. Contrairement aux haricots avec lesquels la maturation aussi, est souvent étalé, on ne peut pas récolter les silique un par un, difficile de faire autrement que de tout récolter d’un coup.

En oubliant pas non‑plus que cette note parle de colzas transplantés vers mi‑Février, pour les déplacer d’une surface à une autre, ce qui normalement ne se fait pas.

Une autre remarque.

Comme les colzas peuvent monter haut, ils ne sont pas adaptés à de petites surface. En bordure, il peuvent tomber sous le poids de la pluie. S’ils sont sur un petit carré à proximité d’un passage, ils peuvent l’encombrer, s’ils sont proche d’une autre culture, ils peuvent la gêner. Au milieux, ils se tiennent entre eux, surtout qu’ils font des bois assez solides. Plus la surface est petite, plus la circonférence est grande par rapport à la surface, d’où la remarque que les colza, ne sont pas adapté à une culture en petits carrés.

La même remarque vaut pour la moutarde noire, et même encore plus, comme elle peut facilement être même deux fois plus grandes encore que le colza.

La moutarde des champs qui est bien moins haute, n’est pas concernée par cette remarque, bien que sont port soit proche de celui du colza.

Le port de la moutarde des champs est bien plus proche de celui du colza que de celui de la moutarde noire. Ces deux là font beaucoup de ramification dans tous les sens, tandis que la moutarde noire est plus élancée vers le haut.

Le port de la moutarde des champs et du colza, fait qu’il est difficile d’envisager une culture mixte, les ramification occupant assez uniformément l’espace, jusque presque le niveau du sol.

Le port de la moutarde noire est plus favorable à une culture mixte.

Modulo une remarque rapportée dans une note ultérieure, les pois semés avec les moutardes noires, n’ont pas été gênés par ces dernières, tandis que des plantes transplantés avec les colza, n’ont pas put s’y trouver d’espace libre, encore plus avec la moutarde des champs, qui comme son port est moins haut, occupe encore plus d’espace à un niveau proche du sol.

En résumé : le colza et moutarde noire ne sont pas adaptés à une culture en petites surfaces, la moutarde des champs s’y prête mieux ; le colza et la moutarde des champs ne se prêtent pas à une culture en mélange, la moutarde noire s’y prête mieux, mais la culture mélangée avec doit être bien choisie quand‑même.

Pour la question de la synchronisation de la maturation des siliques sur la colza, il est préférable d’attendre l’année prochaine, comme il y a un doute sur la pertinence de l’observation faite à ce sujet. Il est encore trop tôt pour dire ce qu’il en sera avec la moutarde des champs et la moutarde noire ; pour l’instant, ils ont l’air de tous mûrir au même rythme.

La moutarde noire est plus tardive que la moutarde des champs, d’au moins deux ou trois semaines.

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Dim 4 Juil 2021 16:16
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Les ramifications et la rigidité du colza, le rendent peu commode pour la récolte de graines au delà d’une toute petite quantité.

Les parties des branches portant les siliques, ont été coupées une part une après avoir déraciné les pieds. Ce n’est pas du tout commode, mais c’était la seule solution pour une récolte dans un sac pas assez grand pour les branches entières.

Il serait plus commodes de couper les branches principales au niveau du pied, mais ça nécessite un contenant dont les dimensions seraient suffisantes pour y faire passer ces branches toutes entières, c’est à dire au moins 1m60 de côté. Si nécessaire, après un temps de séchage préalable, le tout pourrait être foulé ou remué pour en faire sortir les graines qui seraient récupérées au fond après avoir retiré les branches.

Ou une autre solution pourrait être un contenant assez haut mais moins large, des brassées de branches y seraient secouées contre les parois, Dans ce cas, seules les graines tomberaient au fond et les branches ne seraient jamais laissées dans le gros récipient.

Même en coupant les branches au pied, reste encore que l’importante ramification fait que les les branches d’un pied sont partiellement enchevêtrées dans les branches des pieds voisin, et en tirant dessus, par diverses contraintes mécaniques, ont ouvre des siliques et perd des graines qu’on peut même entendre tomber ; on ne les perd pas toutes non‑plus, seulement une petite partie, à moins que les siliques ne soient tous sur le point de s’ouvrir. Pour cette raison, il ne faut pas récolter à un stade de maturation trop avancé. On retrouve d’ailleurs le même problème avec l’avoine, dont les grains enveloppés de leur glume, tombent facilement quand les épis sont totalement mûrs.

Le battage dans un sac n’est pas envisageable, les branches sont tellement dures qu’elles peuvent le perforer ; c’est déjà le cas avec la moutarde des champs, ça l’est encore plus avec le colza.

Il faudrait un tas de compost à part, pour des matières autant ligneuses que peuvent l’être les branches de colza. Elles ont été coupées en tronçons au sécateur, mais ce n’est pas envisageable avec de grandes quantités.

Les mêmes remarques peuvent s’appliquer à la moutarde des champs, elle aussi très ramifiée et ligneuse, même si moins grande. La moutarde noire, bien plus grande, mais plus élancée, devrait plus facilement pouvoir être manipulée par bottes, comme avec les céréales, mais il faudra attendre pour le vérifier.

Une variété de colza qui sera testée cette année, aura peut‑être un port plus élancé. Ce colza dont des graines ont été récupérée il y a un an ou deux, m’a semblé, en plus de faire de bien plus petites feuilles, s’étaler moins en largeur et plus uniformément en hauteur. Ce colza dont les graines sont aussi plus grosses, et peut‑être plus adapté à la culture pour une récolte de graine, tandis que la colza plus classique, semble plus adapté à une culture pour la récolte des feuilles.

En résumé : il est bien plus facile de cultiver le colza pour ses feuilles que pour ses graines, au moins avec les variétés de colza les plus répandues, celles qui font de grandes feuilles et des ramifications dans toutes les directions.

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Dim 4 Juil 2021 16:43
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Une précision sur l’usage de la récolte des graines de colza.

Tout le monde connait l’huile de colza, mais quand la récolte des graines est déjà un problème à lui tout‑seul, il est vain d’espérer faire de l’huile, qui nécessite un pressoir, qui ne s’improvise pas.

L’idée est au lieu d’en tirer une huile, d’utiliser les graines brutes, qui seraient utilisées soit entières, soit moulues. Un test de cuisson sur fond de farine de graine de colza, sera fait plus tard dans l’année.

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Dim 4 Juil 2021 16:59
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Cette année, a été tenté d’associer les pois à de la moutarde noire, pour leur servir de support et aussi en espérant un peu que la moutarde noire masque les pois à l’odorat des bruches.

Pour les bruches, il semble déjà que c’est un échec, je constate des traces d’attaques sur plusieurs gousses et l’ouverture d’une gousse a montré des grains abîmés, probablement par des bruches. Pour détourner les bruches, il faudra donc tenter encore autre chose.

Comme support, ce n’est pas totalement mauvais, mais pas idéal. Ce n’est pas idéal pour deux raisons, dont l’une peut être corrigée, l’autre, pas sans changer de support.

La première raison est que les pois ont été semés sur la même ligne que les moutarde noire, par poquets en alternance. Cette option avait été préférée, pour laisser plus de lumière au pois et ne pas trop réduire la quantité de pois pouvant être semé. Mais les pois, même s’ils se sont en partie accroché aux moutardes, sont quand‑même encore trop tombés sur les côtés des lignes, autant vers entre les deux ligne que vers les bords de la bande. Le support devrait donc plutôt être une ligne de part et d’autre de la ligne de pois. Sur une largeur de bande, cela ferait moins de pois semés, car deux ligne de support pour une ligne de pois, mais sur une grande surface, le rapport passerait à moitié‑moitié, avec une alternance ligne de support, ligne de pois.

La seconde raison, ne peut pas être corrigé sans changer de support. La moutarde noire monte trop haut et se courbe beaucoup en cas de pluies lourdes, sans jamais se redresser par la suite. Remplacer la moutarde noire par de la moutarde des champs, pourrait être une idée, s’il s’avère que les deux récoltes peuvent être faite en même temps. Dans le cas contraire, ce n’est pas envisageable, tellement la moutarde des champs fait des branches enchevêtrées. Mais si la récolte des deux peut se faire en même temps, ce qui sera vérifiée dans peut‑être une quinzaine de jours, alors l’idée pourrait être bonne, comme les pois y trouveraient plus d’accroche. Pour que la moutarde des champs soit une bonne option, il faut aussi que les pois ne soient pas étouffés par la moutarde des champs, qui occupe plus de place vers le niveau du sol, que la moutarde de noire ; pour le savoir, il faudra le tester.

En résumé : le moutarde noire ne fait pas obstacle à l’attaque des bruches sur les pois, ne fait pas un si bon support et peut faire obstacle à l’accès au pois (la récolte simultanée des deux n’est pas envisageable, la moutarde noire est plus tardive). La moutarde des champs pourraient être tentée, mais elle présente un risque d’étouffer les pois.

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Dim 4 Juil 2021 18:08
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
L’onagre supporte mal la concurrence, au moins la première année.

Vers fin‑Avril et début‑Mai, de l’onagre a été semée environ en même temps, sur limon et sur argile. Alors que les conditions sur l’argile sont bien plus difficiles que sur le limon, il y a des pousses déjà bien avancées, sur l’argile, et aucune sur le limon.

Je ne vois pas d’autre explication que celle‑ci : sur le limon, beaucoup de laiteron a poussé sur ce carré, tandis qu’il y a peu d’adventices sur l’argile. L’onagre semble encore préférer un sol difficile sans concurrence, plutôt qu’un sol commode avec de la concurrence (l’inverse de l’avoine).

Ce qui pourrait l’expliquer, c’est que l’onagre ne fait une hampe, et donc des feuilles hautes, que le seconde année (les onagres sont bisannuelles, même si elles semblent pouvoir être vivaces) et seulement une rosace de feuilles au sol, la première année. Cet état, en rosace au sol, doit la rendre vulnérable à la concurrence. Pour la cultiver ailleurs que dans un sol compacte, qui ne convient pas à la récolte de sa racine, ça indiquerait alors de faire un faux semis, pour que même dans un sol commode, elle puisse pousser sans en être empêché.

Note : faire un faux semis, c’est préparer un sol comme pour un semis, mais ne rien semer, attendre quelques dizaines de jours pour laisser pousser les adventices, pour les retirer, et seulement ensuite, semer, en ne remuant surtout pas trop le sol avant le vrai semis (seulement avant le faux semis), pour que le faux semis ne servent pas à rien (remuer le sol avant le vrai semis, ferait à nouveau remonter des graines d’adventices).

La rosace de l’onagre la première année, peut facilement être prise pour la rosace d’une astéracée, il faut y faire attention lors d’un éventuel nettoyage. Pour les reconnaître, il faut voir les feuilles d’une onagre en fleurs, les feuilles de la première année ont le même aspect et les mêmes tons, seul leur disposition n’est pas la même.

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Dim 4 Juil 2021 21:04
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
Le cresson alénois fait des fructifications en forme de petites lentilles vert pâle.

Même s’il est trop densément semé pour faire des feuilles, il fructifient beaucoup et ses fruits contenant des graines pas encore mûres, ont un goût prononcé, proche de la moutarde.

Il y a donc au moins deux manières de le cultiver : peu dense, pour une récolte de feuilles, dense, pour une récolte de ces petites lentilles.

Ces petites lentilles ne sont intéressantes que crues, sinon il se produit le même phénomène qu’avec l’alliaire, la cuisson transforme le goût en une amertume que personnellement je n’aime pas.

La culture pour une récolte de feuilles, est plus intéressante.

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Dim 4 Juil 2021 21:06
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Constaté il y a un peu plus de deux mois suite à des éclaircissement : les feuilles de radis fourrager, sont meilleures que les feuilles de moutarde des champs, leur goût est plus équilibré et elle deviennent fondantes à la cuisson.

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