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Jardinage : supports de culture et cultures
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Lun 16 Aoû 2021 21:27
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
Hibou a écrit : 
Les observations ne sont pas finies, pour les tubercules du précédent message. Ils ont été mis dans des andains de quelque chose semblant être entre une sorte d’humus et une sorte de tourbe (feuilles et débris de bois tombant dans une cuvette naturelle saturée d’eau une bonne partie de l’année). Si les germes font des feuilles, les andains seront complétés par de la luzerne coupée, qui sera ajoutée progressivement à mesure de leur développement.

Ce qui sera a observé, est s’ils se développeront assez pour faire au moins des petits tubercules pouvant servir de plants pour 2022.

Pour l’instant, c’est encore Cheyenne qui se démarque, avec le meilleur développement des feuilles. Kerpondy a plus de mal. Presque rien avec Blue Belle. L’unique tubercule de Laurette semblait bien parti, mais a été victime d’un accident : éjecté de son andain par un animal qui vient gratter le sol régulièrement (tubercule remis en place, il s’en remettra, il n’a pas dépéri).

C’est toujours Cheyenne qui se démarque le plus. Cette variété est spéciale. Ça ne signifie pas qu’elle est la meilleure en tout ou qu’elle est parfaite. Ses germes ont tendance à être trop longs et Laurette a meilleur goût encore, mais Cheyenne est quand‑même au dessus de la moyenne, question goût.

Ce dernier constat était le 7 Août. Aujourd’hui 16 Août, le constat est que Kerpondu a rattrapé son retard sur Cheyenne, ses feuilles sont autant développées.

L’unique tubercule de Laurette a, en terme de développement, disons 7 à 10 jours de retard par rapport Cheyenne et Kerpondy, mais s’en sort.

Les tubercules de Blue Belle ne semblent pas faire de feuilles, à moins qu’elles n’aient été entièrement mangées par des limaces, mais resterait à expliquer pourquoi les feuilles de cette variété et pas les autres.

Des tubercules de Blue Belle avaient bien fait des feuilles plus tôt dans l’année, et avait été plantés n’importe où, faute de l’avoir prévu. Ils ont été dépassé par la végétation ou n’ont rien donné, je ne sais pas.

Bien que les tubercules de Blue Belle soient plus résistants que ceux de Laurette, les pousses de Laurette sont plus résistantes que celles de Blue Belle. Laurette reste quand‑même derrière les deux premières (seulement en ça, parce qu’elle a un goût intéressant).

Pour rappel, ce test a commencé le 20 Juillet.

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Lun 16 Aoû 2021 21:33
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Les tubercules du test du précédent message, avaient d’abord été placés sous un petit andain d’une sorte de terre humifère dont je suppose qu’elle tient un peu de la tourbe. Au fur et à mesure du développement, de l’herbe y est ajouté. Pour l’instant, ça fonctionne, les plants se portent bien.

Mais cette méthode montre déjà un inconvénient : ce recouvrement fait un abris apprécié des limaces, qui semblent ne pas dédaigner les feuilles de pommes de terre, sans pour autant les ravager. Probable aussi que l’apport d’herbe, amène des limaces et il serait trop fastidieux de chercher dans cette herbe, des limaces qui peuvent être toutes petites, d’à peine quelques millimètres.

Les limaces ont été envoyées en vacances ailleurs, ce qui reste faisable, et comme dit plus haut, elles n’ont pas ravagé les pieds, elles laissent assez de feuilles pour qu’ils continuent à pousser normalement. Se nourrissent‑elles plus de l’herbe apportée, même si elle commence à fermenter ou se nourrissent‑elles plus des feuilles des pieds de pomme de terre ? Je ne sais pas. Avec cette manière de procéder, les limaces sont à surveiller, mais sans raisons de trop s’en inquiéter, pour le moment.

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Lun 16 Aoû 2021 23:04
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
Mêmes toutes petites, les racines des pousses de moutarde des champs sont trop ligneuses pour être bonnes. Si elles sont récoltées en nettoyant, il faut quand‑même les retirer avec la racine, pour qu’elles ne repoussent pas, mais il faut ensuite retirer les racines et ne garder que les feuilles. Les feuilles des petites pousses sont meilleures que les grandes feuilles des pieds plus développés.

Il avait précédemment été rapporté que ce n’est pas le cas du laiteron, les racines des petites pousses sont assez tendres et elles sont mêmes bonnes, quoiqu’il faut quelque fois couper certaines longues pointes de racine, qui elles, sont ligneuses.

Ce qu’il est en est avec les petites pousses d’amarante, sera vérifié bientôt. […]

La racine des petites pousses d’amarante, n’est pas ligneuse, mais une portion de l’axe centrale de la pousse, entre la racine et la partie aérienne, est dure, même sur les petites pousses. Il faut donc couper les pousses récupérées nettement plus haut que la racine. Ce n’est pas pour autant intéressant. Les petites pousses d’amarante ont tendance à être contaminées sur la face inférieure des feuilles, par un champignon faisant des boursouflures rose blanchi. Les feuilles de ses petites pousses ont une odeur de betterave à la cuisson, mais n’ont rien de remarquable dans le goût ou la texture. Pas mauvais, mais sans intérêt.

Il n’y a pas d’intérêt à récupérer les pousses d’amarante pendant un désherbage, elles peuvent aller au compost ou être déposées comme couverture sur le sol entre les lignes.

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Lun 16 Aoû 2021 23:26
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Le test de semis de colza à une période appropriée à une bisannuel, a été fait le 15 Août. Deux variétés sont testées. Ce semis de deux variétés de colza est accompagné d’un semis de radis fourrager, pour savoir si un semis dans la deuxième moitié de l’année, lui fait faire de bonnes racines (les semis dans la première moitié de l’année, n’ont toujours fait que des petites racines).

Ce semis a été fait avec plus ou moins une dizaine de jours de retard, il était initialement prévu de le tester dans la première semaine d’Août. Il a plut le lendemain du semis.

La même technique que pour l’amarante a été utilisée, comme elle a montré qu’elle fonctionne. Mais elle a des défauts à améliorer. Le semis est fait en poquet au fond de sillons profonds fait au rayonneur. Les poquets sont formés en pressant le bout d’un rondin de bois. Les graines sont déposés au fond sans les recouvrir. Pour l’amarante, c’était une toute petite pincée de graines, pour le colza et le radis fourrager, c’est trois graines, parfois quatre, quelques fois peut‑être cinq.

Il y a deux choses à améliorer. Quand la terre est trop aérée, le pressage du bout du rondin, fait parfois un trou de poquet plus profond que prévu. Ça n’a pas l’air d’un problème, comme les graines ne sont pas enfouies, mais c’en est un à cause du deuxième problème à résoudre. Ces trous de poquets s’érodent, la terre de la paroi, emportée par les intempérie, tombe au fond peut trop recouvrir les graines, surtout si elles sont petites. C’est peut‑être une des raisons pour lesquelles il n’y a pas eu d’amarante dans tous les poquets, quand cette méthode a été testée une première fois. Pour des graines plus grosses, ça devrait être moins gênant.

Ça pourrait être amélioré en donnant au trou de poquet, des bords inclinés au lieu de bords verticaux. À condition que le fond reste horizontal et soit assez large, avec un pourtour à la surface inclinée, le pourtour s’éroderait plus lentement et l’inclinaison ferait qu’un trou de poquet éventuellement trop profond, laisserait entrer plus de lumière qu’un trou de poquet avec un pourtour vertical.

Ces remarques ne s’appliquent pas aux haricots (ni aux tournesols), dont les graines, comme elles sont grosses, sont recouvertes, alors leurs trous de poquet sont plus petits et n’ont pas besoin d’être autant profonds, justement parce que les graines sont recouvertes.

Si ça n’avait pas encore été dit, voici les raisons de cette manière de procéder. Au fond d’un petit trou, l’humidité se garde mieux, ce qui est censé aider à la germination. Le soleil tape moins fort ou moins longtemps dans la journée, ce qui est censé protéger des pousses encore fragiles, contre les coups de chaud. Il est espéré que les pousses au fond de petits trous, sont moins visibles pour les oiseaux, idem pour les graines déposées au fond. Le compactage aide aussi à garder l’eau, une terre aérée la laissant filer. Ce compactage est aussi censée gêner la levée d’éventuels adventices dont les graines se trouveraient dans la terre du trou de poquet. Ceci est en supposant que le trou est assez profond, au moins de quelques centimètres, et que alors, il soit aussi assez large. Les trous aident aussi à localiser les points où des graines ont été semées. Faire les trous de poquet au fond de sillons profonds, est censé accentuer les effets.

Comme dit plus haut, cette manière de faire a déjà été testée avec les amarantes et elle n’est pas parfaite en l’état, l’objet utilisé pour former les trous de poquet, devrait être étudié. La partie pressant le sol pourrait avoir la forme d’un cône à angle pas trop aigu et dont la pointe serait largement tronquée.

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Mar 17 Aoû 2021 11:16
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Compléments et précisions sur le précédent message.

Hibou a écrit : 
[…] Ces trous de poquets s’érodent, la terre de la paroi, emportée par les intempérie, tombe au fond peut trop recouvrir les graines, surtout si elles sont petites. C’est peut‑être une des raisons pour lesquelles il n’y a pas eu d’amarante dans tous les poquets, quand cette méthode a été testée une première fois. Pour des graines plus grosses, ça devrait être moins gênant.

Mais l’érosion, qui ne peut être totalement empêchée, n’est pas un problème si elle est assez tardive, il faut seulement qu’elle soit assez tardive pour n’être marquée que quand les pousses sont assez développées.

Hibou a écrit : 
Ça pourrait être amélioré en donnant au trou de poquet, des bords inclinés au lieu de bords verticaux. À condition que le fond reste horizontal et soit assez large, avec un pourtour à la surface inclinée, le pourtour s’éroderait plus lentement et l’inclinaison ferait qu’un trou de poquet éventuellement trop profond, laisserait entrer plus de lumière qu’un trou de poquet avec un pourtour vertical.

Il faudrait qu’une bordure assez large autour du trou de poquet, soit elle aussi formée par pressage, pour en limiter l’érosion.

Hibou a écrit : 
Ces remarques ne s’appliquent pas aux haricots (ni aux tournesols), dont les graines, comme elles sont grosses, sont recouvertes, alors leurs trous de poquet sont plus petits et n’ont pas besoin d’être autant profonds, justement parce que les graines sont recouvertes.

Ces trous de poquet sont quand‑même formés par pressage, même s’ils sont ensuite remplis de terre meuble. La terre ou le compost meuble qui les remplit, laisse filer l’eau jusqu’au fond où se trouvent les grosses graines. Ce fond laisse moins filer l’eau. La différence de ces trous de poquet, est que comme ils sont remplis, leurs caractéristiques sont moins exigeantes (les questions de l’érosion et de la lumière qu’ils laissent passer, ne se posent pas).

Hibou a écrit : 
[…] Il est espéré que les pousses au fond de petits trous, sont moins visibles pour les oiseaux, idem pour les graines déposées au fond. […]

Quand les oiseaux sont au sol et pour picorer les pousses, ils doivent bien être au sol.

Hibou a écrit : 
[…] La partie pressant le sol pourrait avoir la forme d’un cône à angle pas trop aigu et dont la pointe serait largement tronquée.

En tenant compte de la remarque sur la nécessité de presser aussi une bordure, horizontale, ce conne tronqué, devrait aussi avoir une col horizontal et assez large.

Le même profil, mais linéaire, pourrait être utilisé pour ce qui est semé en lignes au lieu de en poquets.

Des tests de semis sur des lignes formées par pressage, ont été fait les 10, 20 et 22 Juillet. Le résultat n’est pas trop mauvais, mais trop imparfait. Ces lignes n’ont pas été formées au fond de sillon, mais directement en surface. Pour des sillons rapprochés, un gros rayonneur est trop large, il en faudrait un petit. Les lignes ont été formées avec un rondin de bois aussi, mais en le pressant couché au sol. La pression s’exerçant sur une grande surface, elle est trop faible, le compactage n’est pas assez important et la ligne formée n’est pas assez profonde, elle s’érode trop vite et le profil, trop ouvert, n’abrite pas assez bien les graines. Il y a quand‑même eu une assez bonne levée des graines semées directement au fond de ces lignes, sans même les recouvrir. En utilisant un profil comme celui décrit plus haut, au lieu du profil largement rond d’un rondin de bois couché, le résultat aurait assez sûrement put être meilleur.

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Mer 18 Aoû 2021 14:56
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
Le test de semis de colza à une période appropriée à une bisannuel, a été fait le 15 Août. Deux variétés sont testées. Ce semis de deux variétés de colza est accompagné d’un semis de radis fourrager, pour savoir si un semis dans la deuxième moitié de l’année, lui fait faire de bonnes racines (les semis dans la première moitié de l’année, n’ont toujours fait que des petites racines).

[…]

La géométrie du semis est comme suit : pour chaque semis, trois sillons d’environ 2m50 de longueur, espacés de 30 cm, le tout centré sur une bande d’une largeur de 140 cm, laissant une marge de 40 cm sur les côtés de la bande, pour que les pieds ne tombent pas trop dans les allées (à partir de l’année prochaine, ces semis seront fait en carrés au lieu de en bandes). Pour les colzas, des poquets espacés de 20 cm et pour le radis fourrager, des poquets espacés de 40 cm. Pour les colza et le radis fourrager, 3 graines par poquet, mais parfois un peu plus sont tombées, il peut y en avoir 4 ou parfois 5.

Pour le radis fourrager, la densité est celle souhaitée initialement. Un seul pied sera laissé dans chaque poquet. Pour le colza, la densité de poquets est plus faible que celle initialement envisagée, un peu moins de 10 poquets/m² au lieu de 13. Mais il y a plusieurs graines par poquet et toutes les pousses seront laissées. Si un pied par poquet sera gardé pour le radis fourrager, c’est parce que l’objectif est de faire des racine. Ce n’est pas le cas pour les colzas et il est espéré que les pieds dans un même poquet, se comporteront comme un seul gros pied. Le bilan, l’année prochaine, dira si ça convient.

Pour le colza, il est espéré de faire le même rendement en graines, que pour les autres brassicacées, c’est à dire entre 50 et 60 g/m².

Note : un précédent message rapportait par erreur, 102 g/m² pour le rendement de la moutarde noire, c’était une erreur, le rendement a été en fait de 51 g/m². Le message a été corrigé depuis. Trois brassicacées ont donné des rendements similaires, un peu plus de 50 ou un peu moins de 60 g/m² : cresson, moutarde noire et moutarde des champs. Celui du colza aurait dut pouvoir être le même, s’il avait été cultivé correctement.

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Mer 18 Aoû 2021 15:05
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
La fermentation semble une nécessité, pour les graines de moutarde noire, sinon elles deviennent amère à la cuisson.

Un test de cuisson de riz avec 3 g et demi de graines de moutarde noire, pilées au mortier, a été fait. Les graines pilées ont été ajoutées à l’eau de cuisson. Les graines ayant un goût brûlant, ça a été une mauvaise surprise de ne retrouver aucun goût après la cuisson. Le même test a été refait avec 25 g de graines. Cette fois il y avait bien un goût, mais pas celui attendu : un amer désagréable, même si pas top excessif.

Il semble que les graines de moutarde noire, deviennent amères à la cuisson. Ça rappel le cas de l’alliaire. Ors, l’alliaire saumurée, ne devient plus amère à la cuisson. Il en est peut‑être de même pour les graines de moutarde noire. C’est peut‑être la raison du mode de préparation traditionnel de la moutarde, qui fait usage d’une fermentation et du fait qu’elle n’est pas traditionnellement utilisée sous forme de graines brutes. Les graines de moutarde noire, ne peuvent donc pas être une alternative universelle au poivre.

Un test avec les graines pilées, ajoutées après la cuisson, sera fait plus tard. Le constat sera rapporté dans ce message en le re‑éditant.

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Mer 18 Aoû 2021 15:32
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Les graines de salsifis avec leurs soies, je trouve qu’elles ressemblent à des bouts de plumes d’oiseaux.

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Ven 20 Aoû 2021 01:14
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
La récolte des haricots est étonnamment étalée cette année. La cause doit être les températures clémentes et les pluies. Le bilan final des variétés, est encore reporté, il y a encore eu une récolte et une autre petite est déjà certaine.

Les gousses des Purple Queen laissées à mûrir pour les graines, sont couvertes de rouilles, tellement qu’elles ressemblent à un bout de tige métallique ayant séjourné des années dans le sol. Décidément une mauvaise variété, elle nécessiterait même un soin particulier pour en tirer des graines à semer.

Mascaret a un port commode, ils montent plus haut que les autres, en ne tombant pas beaucoup, pour sa hauteur (ça reste un haricot nain quand‑même). Avec la disposition des gousses, ça en fait une variété plus commode à récolter que les autres.

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Ven 20 Aoû 2021 01:23
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Début des semis tardifs de haricot, avec une dizaine de jours de retard. Il était initialement prévu de faire ces semis, vers le 10 Août, le 15 au plus tard.

Ils sont semés en sillons, un tous les 1m20. Seule la surface de chaque sillon est décompactée, sur une largeur de fourche‑bêche. Dans les sillons, le semis est à 3 grains par poquet, un poquet tous les 15 cm. Cette densité était celle du semis du printemps, elle a donné de meilleurs résultats et une récolte un peu plus commode, qu’avec la densité plus élevée des années précédentes, qui utilisait plus de grains par poquet avec des poquets plus espacés. Les poquets sont recouverts de compost. De la paille présente sur la surface (celle des céréales), sera ajoutée aux pieds le moment venu.

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