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Un type de rotation qui serait intéressant, serait cultiver une surface deux ans, en laissant l’autre moitié deux ans sans la cultiver, et tourner ainsi. Ce serait plus favorable aux sauvages bisannuelles. Ce ne serait pas nécessairement par moitié, le plus important dans l’idée, est d’avoir un cycle qui avance d’un pas tous les deux ans ou lieu de tous les ans.
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Hibou a écrit : 
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Aucune autre explication n’est trouvée excepté les oiseaux, mais un détail ne colle pas : seule cette variété de pommier et touchér. Les pousses du semis de Pink Lady et du semis de poire Williams, sont indemnes. Une autre explication pourrait être une maladie comme la fonte des semis, mais ça ne colle pas non‑plus, les pousses ne brunissent pas, la levée a été bonne et il n’y plus une traces des feuilles disparues.

[…]

Finalement, si, ce sont le plus sûrement des oiseaux. Des pousses de Pink Lady ont aussi disparu et il y a la place, des petites fissures dans la surface, semblables à celle qui sont laissées en retirant les petits gaillets qui apparaissent aussi dans les semis d’arbres.

Comme les prochains semis d’arbres se feront en pensant à les protéger des oiseaux aussi, à ce moment là, il devrait être possible de savoir, par comparaison.
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Dans les conditions des jours précédents, avec des températures pourtant pas très chaudes, 18 à 20 ℃ sans pluies, au bout de deux jours, les mottes d’argile sont déjà trop dures pour être émiettées et au bout de quatre jours, elles sont déjà presque comme de la pierre.

Une semaine de pluies s’annonce, ce sera l’occasion de voir si ces mottes trop dures peuvent être assez fragilisées par quelques journées de pluies.
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Hibou a écrit : 
Un nouvel espacement sera testé pour les haricots nains. Celui de l’année précédente était en lignes espacées de 30 cm, un poquet de 3 grains tous les 15 cm à 3 cm de profondeur. Cette année, La répartition sur les lignes restera la même, mais l’espacement entre les lignes sera de 45 cm. L’année précédente, les lignes tombaient trop l’une sur l’autre, d’où l’augmentation de l’espace entre ligne. Cette configuration sera tentée en triple lignes espacées par des allées […]

Finalement non, en double‑lignes. Des triples lignes feraient des bandes larges de 180 cm, ce qui serait trop, la largeur habituelle de 140 cm étant déjà limite pour accéder à une ligne centrale.
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Hibou a écrit : 
En france au moins, le printemps s’annonce plu sec que d’habitude. C’est ce qu’annoncent les prévisions saisonnières et que je crois constater déjà sur la végétation depuis au moins début Mars. Si le printemps est sec, il y a un risque que l’été le soit aussi. Les bonnes conditions de l’été 2021 ne vont apparemment pas se répéter cette année.

Voir : Printemps - été 2022 : le spectre de la sécheresse en France ? (meteo-paris.com), 21 Mars 2022.

Voir aussi : Re: Plantes sauvages comestibles.

Il n’y a pas qu’en france que la fin de l’hiver a été anormalement sèche avec seulement maintenant une tardive série de pluies, c’est le cas au Maroc aussi.

Précipitations tardives au Maroc: la saison agricole peut-elle être sauvée ? — Medi 1 TV — 4 Avril 2022
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Hibou a écrit : 
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Précipitations tardives au Maroc: la saison agricole peut-elle être sauvée ? — Medi 1 TV — 4 Avril 2022

Quand il parle des céréales d’automne qui sont basses, j’ai remarqué la même chose dans le nord‑est de la france avec les colzas qui sont moins hauts que d’habitude. C’est ce qui me fait tiquer : les mêmes phénomènes dans des régions qui n’ont pourtant habituellement pas les mêmes variations climatiques. Il y a quand‑même une différence, au Maroc, les pluies tardives sont arrivées dès Mars.

Les années suivantes diront si la tendance se confirme.

Il liste les céréales qui ont le mieux résisté, de la plus à la moins résistante : orge, blé dur, avoine, blé tendre. Il précise aussi que les semis directes ont mieux résisté que les semis conventionnels.
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Pour des remarques sur la culture de l’ail des vignes, de l’ail des ours et de l’égopode, voir : Re: Plantes sauvages comestibles.
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Voilà qu’il neige à gros flocons …

Elle tient au sol. La température extérieure est d’un peu plus de 0 ℃.

Ce n’aurait pas été une année à semis précoce (aucun semis n’a encore été fait).
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Hibou a écrit : 
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Finalement, si, ce sont le plus sûrement des oiseaux. Des pousses de Pink Lady ont aussi disparu et il y a la place, des petites fissures dans la surface, semblables à celle qui sont laissées en retirant les petits gaillets qui apparaissent aussi dans les semis d’arbres.

Comme les prochains semis d’arbres se feront en pensant à les protéger des oiseaux aussi, à ce moment là, il devrait être possible de savoir, par comparaison.

Il ne restera bientôt plus rien du semis de Pink Lady non‑plus et des pousses de poirier disparaissent aussi. Quand ce n’est pas la pousse entière qui disparaît, le haut de la pousse est à la fois arraché et coupé. Arraché, parce quelques fibres restent, mais coupé au moins en partie aussi, parce que si le haut de la pousse était seulement arraché, toute la pousse viendrait avec. Justement quand‑même, assez souvent c’est la pousse entière qui disparaît.

Les écureuils mangent parfois des bourgeons, alors ça pourrait être aussi les écureuils (ils sont parfois deux, même si généralement il est seul), peut‑être pas nécessairement les oiseaux. Mais vu l’emplacement, ce sont plus probablement des oiseaux qu’un écureuil, surtout qu’un écureuil étant bien plus grand qu’un oiseau, il mangerait plutôt toutes les pousses d’un coup.
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Ne pas oublier que ce qui empêche les sangliers de passer, n’empêche pas nécessairement les biches ou les chevreuils de passer, pour eux, il faut parfois rehausser.

Pour distinguer une trace de biche ou de chevreuil d’une trace de sanglier, il faut regarder à l’arrière de la trace. S’il y a deux petites marques ou rayures dans le sol en plus des deux doigts de l’avant, c’est un sanglier, si l’arrière de la trace est un arrondi assez nette, c’est une biche ou un chevreuil.

Parfois aussi, on peut les distinguer en remarquant que dans les surfaces meubles, les traces s’arrêtent subitement, pourtant sans signe de retour en arrière. C’est que contrairement aux sangliers, les biches et les chevreuils savent bien faire des bonds …

Les petites marques à l’arrière des pas des sangliers n’étant pas toujours visibles, d’éventuels traces de fouissement ne doivent pas empêcher de conclure que ce sont un sanglier malgré tout, comme les biches et les chevreuils ne fouillent pas dans le sol.

Pour savoir qui à laissé quelles empruntes, voir cette page, en oubliant une seconde que c’est un site de méchants chasseurs : Empreintes des mammifères (ma-chasse.com).
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