Jardinage : supports de culture et cultures

Pour la récolte des graines d’ail des vignes, savoir que a maturité, les bulbilles sèches se détachent toutes seules. Attraper l’inflorescence mûre entièrement dans la main et tirer un peu, les bulbilles vont se détacher très facilement toutes seules et rester dans la main qui doit être bien fermée. Il y a moins de risque de brusquer les pieds pendant la récolte des graines qu’avec les brassicacées, parce qu’elles sont isolées en haut d’une longue tige.

Les graines du colza, sont plutôt grosses, comparées à celles des autres brassicacées.

J’avais mentionné que les carottes sauvages semées en Mars, ont fleurit ; j’ai remarqué qu’au moins une des carottes cultivées semées en Mars aussi, prépare une ombelle.

Je me demande alors si ce ne serait pas le semis précoce, qui provoquerait cette floraison dès la première années.

Le salsifis nécessite une terre plus profonde que la carotte. Il a tendance à fourcher quand il rencontre des obstacle dans le sol. Il pousse mieux que la carotte.

J’avais déjà mentionné que le salsifis pousse aussi mieux que la scorsonère, qui d’ailleurs lève mal.

La salsifis me semble meilleur que la betterave et aussi bon que la carotte, mais j’ai l’impression qu’on s’en lasserait plus vite que de la carotte. La purée de salsifis est grise, ce qui est décevant en comparaison de la carotte qui a une belle couleur.

Peut‑être faudrait‑il cultiver une part de betterave, deux parts de salsifis et trois parts de carotte.

Peut‑être un peu de pluie Vendredi et Samedi qui viennent, mais pas sûr, et pas une grosse pluie, 2 à 4 mm au plus, pas de quoi réhydrater des terres complètement desséchées.

En complément d’un précédent message, « Re: Jardinage : supports de culture et cultures », une planche d’identification des épis des principales céréales, avec dessins des plantes entières à maturité : Les céréales (terre-net.fr) [PDF], Françoise Piquet‑Vadon, éditions Deyrolle, 2012.

Je crois avoir identifié une céréale qui pousse un peu partout spontanément, et dont j’ai trouvé une quantité de grains non‑décortiqués, sur le bord d’un boulevard en ville : fort possiblement de l’orge à six rangs, si je compare le grain à deux d’épis poussant au bord d’un boulevard non‑loin du premier.

Au plus simple, l’orge a un grain nettement plus blanchâtre que les autres céréales, et l’orge à six rangs, si on ne tient pas compte de ses longues barbes, a un épis plus épais et plus court en proportion, que l’orge à deux rangs. Pour l’orge à six rangs, il faut compter les rangs pour vérifier ; je me demande d’ailleurs si c’est la seule céréale à six rangs ou pas, comme si oui, ça en ferait un critère déterminant.

Les rangs, ce sont simplement les lignes de grains le long de l’épis. Il faut faire parfois attention en les comptant, parce qu’il peut arriver que les rangs soient assez serrés pour s’entremêler.

Les deux types d’orge, ont un épis nettement pointé vers le sol, à maturité complète.

Un gros épis court à relativement longues barbes, peut correspondre à de l’orge à six rangs ou à du blé dur, mais le blé a un grain orangé et l’épis du blé dur ne pointe pas vers le sol, bien qu’il soit penché vers le sol.

L’orge semble pousser facilement dans ma région, alors.

Je trouve à l’orge un usage bien plus limité que les autres céréales, mais je vais quand‑même semer l’année prochaine, les 800 g de grains ramassés au bord de la route.

La paille de l’orge est bien réputée, encore plus que celle de l’avoine.

Les graines de la moutarde noire, sont minuscules. C’est une surprise, en pensant à la taille de la plante à maturité.

Les graines des brassicacées, sont typique sphériques de couleur noir brillant à reflets rougeâtres, la taille variant selon les espèces.

Les graines de l’alliaire se distinguent des autres : elle sont plus allongées que sphériques et sont de couleur anthracite matte avec des nuances brunâtres. Leur forme me fait penser à celle de petits grains de céréale.

Les graines de la barbarée, sont encore plus petites que celles de la moutarde noire. Leur vannage est délicat. Leur couleur est celle des graines d’alliaire.

Les siliques de la barbarée sont plus résistant que ceux des autres brassicacées.