Les oiseaux

Chez les oies, la destination de la migration, est culturelle.

Depuis deux jours, les merles redeviennent fous ; je voulais dire, foufous.

Un étourneau sansonnet vu de près, c’est psychédélique.

Ils ont le bec jaune‑pâle, ce qui les distinguent des grives, mais certaines grives ont un bec jaune aussi.

Un faucon crécerelle aperçu aujourd’hui, était tellement grand, qu’il pourrait passer pour un petit aigle, surtout avec son vol plané (parce qu’ils ne font pas que des vols stationnaires).

Les geais des chênes font leur nid en ce moment. Il y a trois jours, un geai a été aperçu amassant des petites racines sèches qu’il récupérait au milieux des avoines. Il est reparti avec sa brassé de racines en direction d’un arbre où il n’était pas seul. Pendant qu’il ramassait ces petites racines, « on » s’adressait à lui et il a répondu en ayant pourtant plein de racines dans le bec.

Les mésanges grises aussi.

Il y a peut‑être des courlis dans le nord‑est de la france, mais alors peu.

Dans le courant du mois de Février de cette année 2021, dans un coin de près à ce moment là assez saturé d’eau pour que de petites étendues s’y soient formé, j’avais aperçu quelques instant, un oiseau au long bec fin et courbé vers le bas. Il était de couleur plus sombre que claire. Je n’avais jamais vu un oiseau pareil jusque là.

Peut‑être était‑ce un courlis, d’après un oiseau que je viens de voir dans un reportage. Ils aiment les zones marécageuses, alors peut‑être. Je suis repassé plusieurs fois par là, dont une fois récemment, sans jamais le revoir.

Les zones de culture mixtes de luzernes, phacélies et tournesols, sont favorables aux perdrix.

Il existe des grands oiseaux en Europe, qui sont même les plus grands du continent, ils s’appellent les outardes. Je trouve qu’ils ressemblent aux autruches, mais ils ne sont quand‑même pas aussi grands. Ils ont le même air, assez le même bec et la même manière de se tenir. Les outardes sont‑elles des cousines des autruches ?

Les outardes sont sévèrement menacées de disparition.

Dans la vidéo ci‑dessous, de 00:17:00 à 00:37:00, une outarde couve un nid vide depuis trois ans, un ornithologue amène un œuf en bois peint dans son nid pour la tester, comme elle l’accepte et le couve, il lui fait amener un œuf prêt à éclore. Je précise que l’histoire n’est pas toute gaie, en parallèle, des corbeaux ou des corneilles ont massacré des oisillons dans leurs œufs dans un nid à une centaine de mètres de là.

La science au secours des oiseaux — ARTE — 2021
[Vidéo disparue]