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La purée de coing, même sans sucre ajouté, est bien meilleure que le coing cru. Exemple : 700 g de coing (poids nettoyé, avec la peau) en morceaux, cuit dans 300 g d’eau pendant 12 mn, pressé au presse‑purée, recuit 8 mn.
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L’oseille souligne bien la tomate. Exemple : 370 g de tomate en dès, 40 g d’oseille hachée, cuit avec d’autres choses, tels que ail, coriandre, sel, et champignon sauvage.

Il faudrait tester l’oseille cuite seule, pour savoir si son acidité est bien maintenue et si c’est bien celle‑ci qui souligne la tomate.
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La feuille de moutarde noire, manque de douceur, comparée à la feuille de moutarde des champs, mais elle a plus de goût.
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À la suite du message précédent.

Comme les moutardes semblent facilement s’hybrider entre elles, par moutarde des champs, il faut comprendre celles qui ont les aisselles violacées, les feuilles glabres et peu découpées et par moutarde noire, il faut comprendre celles qui ont les feuilles piquantes comme de la barbe mal rasée et dont les feuilles sont plus découpées, ce qui peut autant correspondre à la moutarde blanche.
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Si vous voyez une malvacée, dont les feuilles font penser à celles des mauves sylvestres et autres, mais en plus crépues, dont le cœur n’est pas violacé, et dont les fleurs font penser à celle de l’hibiscus par leur forme et à la guimauve par la douceur du ton, c’est peut‑être de la rose trémière. Non testé personnellement, rapporté du web : elle est comestible, mais sans goût, peut‑être comme la feuille de guimauve qui n’en a aucun.

Personnellement, cette plante me semble peu engageante en cuisine, à cause de l’aspect des feuilles.
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Hibou a écrit : 
Des violettes à fleurs blanches ont été aperçues. Aucune idée de la cause.

Ce message datait de Mars 2021.

Amusant de noter que la violette, qui a des fleurs violettes, s’appel violette blanche, sur ce site : Violette blanche (florealpes.com).

Le mystère de ces violettes à fleurs blanches n’est toujours pas éclairci. Elles devraient normalement être à nouveau observé au printemps prochain. Quelques pieds seront prélevé pour les mettre en culture, ce qui au passage dira si le milieu y est pour quelque chose.
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La passerage drave, est parfois appelée le brocoli sauvage, cependant, la passerage est un des noms du cresson alénois : Lepidium sativum L. (tela-botanica.org).
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Le gaillet mollugine est comme l’ortie pour la récolte, mieux vaut récolter seulement quelques centimètres vers la pointe, en s’assurant encore qu’elle ne soit pas trop solide, ce qui peut se produire si le gaillet avait déjà été coupé.
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La pariétaire, qui pousse souvent sur les mûrs, doit son nom à un mot Latin signifiant « paroi » : La pariétaire : ange ou démon ? (zoom-nature.fr), 2017.
L’article a écrit : 
Parietaria, le nom latin créé par le naturaliste romain Pline dérive de paries pour paroi et renvoie donc directement à ce mode de vie.


D’après le même article, la pariétaire officinale, est celle qu’on voit pousser en sous bois au bord des cours d’eau (personnellement, je la trouve meilleure, plus équilibrée au goût et d’une meilleure texture). Elles est reconnaissable à ses feuilles plus longues et à ses tiges dressées, tandis que celle de la pariétaire de Judée, qui pousse sur les mûrs, sont tombantes avec une tendance à se redresser seulement au bout. Il existe d’autres pariétaires, mais ce sont les deux plus courantes (surtout la pariétaire de Judée, en ville).

Comme le prêle, la pariétaire a servi d’éponge à récurer la vaisselle.

Il a été rapporté qu’après la cuisson de la pariétaire, on trouve un dépôt blanc au fond de la poêle, semblant minéral. L’article rapporte que la plante a été utilisée pour produire de l’alcali, un mélange de sodium et de potassium.

La pariétaire semble autant riche en oligo‑élements que l’ortie (peut‑être pas les mêmes ou les mêmes proportions), et partage avec elle un défaut : elle contient des oxalates de calcium (peut‑être pas le même taux ; à vérifier). Elle est riche en potassium et c’est en été qu’elle en contient le plus. Pour rappel, se préoccuper de l’équilibre sodium/potassium est plus important que de se préoccuper de sa consommation de sodium (dans l’idéal, 5 fois plus de potassium que de sodium) ; mais la pariétaire contient aussi du sodium.

Son pollen est très allergisant pour certaines gens.
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Noté seulement pour l’avancement de la végétation : les jonquilles ont déjà bien commencé à sortir depuis quelques jours. Les jonquilles sont toxiques.
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