Cette partie du forum n’est pas compatible avec les bloqueurs publicitaires
Félicitations à vous, de préférer les accès payants plutôt que la gratuité par la publicité, c’est honnorable et cohérent de votre part. Malheureusement, l’accès payant par micropaiement (qui serait d’environ 1 cent pour 20 pages consultées) n’est pour l’instant pas encore mis en place, et l’accès gratuit sans publicité, est réservé aux membres actif(ve)s du forum. En attendant, si vous souhaitez poursuivre votre visite chez nous, vous pouvez ajouter le site à votre liste blanche, ou encore mieux, désactiver le bloqueur partout. Pour ajouter le site à votre liste blanche, pour Firefox (similaire pour les autres navigateurs), rendez‑vous en bas à gauche de la fenêtre de votre navigateur, et cliquez sur le menu comme dans l’exemple de l’image ci‑dessous, puis rechargez la page, en appuyant sur F5.
|
|
Auteur | Message |
---|---|
Consul Honoraire
|
Je suis follement doux...
(le jeu de mots colle parfaitement, mais oui!) HTLLTD Du sollst niemals vergessen, danke zu sagen. |
|
|
Consul Honoraire
|
john gouze a écrit :
T'es un gars bien! HTLLTD Du sollst niemals vergessen, danke zu sagen. |
Modératrice
|
krokiller a écrit : Je suis follement doux... Ç'est beaucoup mieux qu' être malade.. Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Consul Honoraire
|
Lucy Van Pelt a écrit :
Entièrement d'accord. Mais même l'idée d'être "malade", le sens du mot, dépend du sens qu'on lui donne. "Un esprit sain dans un corps sain", ce sont des modalités pré-définies. Tout ce qui gravite autour, et non dedans, est considéré comme étant "malade". "Etre malade" est juste une norme. Et je pense que être un peu "malade" tout en respectant la vie en générale, et les gens en particuliers, est un "hors-norme" que beaucoup s'autorisent. Moi aussi alors J'ai été mal formaté HTLLTD Du sollst niemals vergessen, danke zu sagen. |
Consul Honoraire
|
(jolie métaphore, même "juste comme ça". La chanson et la video)
J'en parlais avant: cette histoire de "bon" et "mauvais" moment. Faut apprendre à les dompter, tout simplement. Même si le mot "simplement" aime bien se placer là où on l'attend le moins... en plus, ce n'est rien de nouveau en soi, mais bon: c'est à force de dire -fais attention- qu'on commence à faire attention. Il n'y a que l'Amour qui échappe vraiment à cette règle: même si on n'a jamais -vraiment- aimé, on peut le faire tout à coup. Sans avertissement. Ici, on peut voir nettement que le tout est plus grand qu'on ne le pense; que le personnage "vivant" de cette histoire se bat avec plus de chose qu'il n'y paraît. Comme beaucoup d'entre nous, non? Crematory, -Left the ground- (se détacher..., partir) The sky is near, I’m burning in the heart of the sun Where I am, my feet don’t move, they don’t run But I ain’t yearning to be gone Whenever this day will dawn, I will have Le ciel est tout près, je me consume à la chaleur du soleil La où je suis, mes pieds ne bougent pas, ils ne cherchent pas à courir Mais je ne suis pas encore parti Mais quand le crépuscule arrivera, j'aurais Left the ground Touch the skies, just like butterflies Leave the thoughts behind, let the sun go blind I will see the next one from a higher ground However it will make things turn, I will have Left the ground Touch the skies, just like butterflies Leave the thoughts behind, let the sun go blind Quitté cet endroit J'aurais touché le ciel, comme un papillon J'aurais laissé mes pensées, mes doutes, derrière moi, aveuglé par le soleil Je verrais les autres d'en haut Quoi qu'il puisse arriver, j'aurais Quitté cet endroit And when all seems clear, I’m freezing in the ray of lights Where I go my thoughts will shine again But I ain’t yearning to be gone Whenever this day will dawn, I will have Et alors que tout semble clair dans ma tête, je commence à avoir froid malgré le soleil Car là où je m'apprête à aller... mes doutes et pensées seront encore là! Mais je ne suis pas encore parti Mais quand le crépuscule arrivera, j'aurais Left the ground Touch the skies, just like butterflies Leave the thoughts behind, let the sun go blind I will see the next one from a higher ground However it will make things turn, I will have Left the ground Touch the skies, just like butterflies Leave the thoughts behind, let the sun go blind Quitté cet endroit J'aurais touché le ciel, comme un papillon J'aurais laissé mes pensées, mes doutes, derrière moi, aveuglé par le soleil Je verrais les autres d'en haut Quoi qu'il puisse arriver, j'aurais Quitté cet endroit J'aurais touché le ciel, comme les papillons J'aurais laissé mes doutes derrière moi, grâce au soleil aveuglant Where I am, my feet don’t move Where I go my thoughts will shine again I will see the next one from a higher ground However it will make things turn, I will have Là où je suis, mes pieds ne veulent pas bouger Là ou je vais, mes pensées et doutes reviendront aussi... Left the ground Touch the skies, just like butterflies Leave the thoughts behind, let the sun go blind I will see the next one from a higher ground However it will make things turn, I will have left the ground Vous savez, ce sentiment de ne plus "vouloir", ni même à force "pouvoir"... Je pense que c'est humain, et que ce n'est ni plus ni moins une façon de se dire qu'il est temps de se regarder dans un miroir, droit dans les yeux. Peut-être l'idée de cette vidéo, en fait? Cela n'effacera pas ce qu'il s'est passé, mais bon... HTLLTD Du sollst niemals vergessen, danke zu sagen. |
Modératrice
|
Se regarder dans un miroir, se voir pour la première fois, et choisir autre chose. Ça me fait penser à ce texte que j'ai déjà mis keke part ici. Le revoilà, si tu me permet.
Revivre (Daniel Bélanger) Dans un miroir Trop grand pour moi J'ai vu mes yeux Baigner dans du liquide Je n'ai pas cru d'abord En mon chagrin D'autant que je ne pleure Plus jamais Mais en fouillant Juste un peu plus J'ai trouvé des motifs Bien assortis Et des raisons plus qu'intéressantes Pour comprendre ce qui m'arrive C'est qu'il ne m'arrive plus rien Tous les jours de mon âge m'ont endormi Jamais plus rien Plus de voyages, presque plus d'amis C'est très restreint En termes de loisirs et de plaisirs Alors dans ce miroir Trop grand pour moi J'ai vu ma bouche Dessiner un sourire Je n'ai surtout pas cru En ma deuxième chance D'autant que je ne gagne Jamais à rien Mais en y songeant Juste un peu plus Et sachant que ça fera mal j'ai décidé de changer Que peut-il se produire de pire Que rien ? Et je crois que tout arrive Tout vient à Qui sait mourir Pour mieux revivre Ce n'est pas sans peine Je crois qu'on revient mieux Après le deuil de soi-même Que tout vient À qui sait mourir Pour mieux revivre Ce n'est pas sans peine Je crois qu'on revient mieux Après le départ de soi-même Que tout vient À qui sait mourir Pour mieux revivre Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Consul Honoraire
|
no soucy, Lucy. Cela complète bien cette "partie" de l'histoire. L'art et les sentiments ont un nombre quasi-infini de s'exprimer, la musique n'est pas obligatoire. Je reste dans cette idée parce que j'ai commencé comme ça; ce topic, that's it. *Texte intégré dans le déroulement des choses de l'histoire de ce topic* HTLLTD Du sollst niemals vergessen, danke zu sagen. |
Modératrice
|
En fait, "revivre" est une chanson.
Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Bavard impénitent
|
Lucy Van Pelt a écrit : En fait, "revivre" est une chanson. Ce serait bien de l'entendre, le texte est beau, comment est la voix ? La joie authentique est le but de l'âme : c'est la joie que procure les choses belles - Philosophie hédoniste |
Modératrice
|
steffani a écrit :
Très très belle, mais, je ne l'ai pas trouvé.. Je vais regarder encore.. Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
|