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Merci de ne plus aborder plus cette question du mariage homo sur un sujet dédié à la dépénalisation du cannabis, sinon ça va être incompréhensible. Pensez aux gens qui lisent.

Au delà de ce message, tous les messages hors-sujet serons supprimés.

Quand il s'agit de sujets graves ou polémiques, un minimum de méthode et de maitrise sont préférables. Dans un sujet léger (sinon ce n’est plus léger), c’est compréhensible, mais là, non.
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Peut-être faudrait-il inscrire dans le règlement que seuls peuvent s'exprimer sur ce sujet les "pour".
Pour revenir au Shit, inutile de rêver, la dépénalisation ne se fera pas en France. Même si dans le pire des cas, en 2012 le gouvernement changeait de "côté".
Pour le Portugal, le calvaire a déjà commencé. RDV dans moins de deux ans ...
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Tes messages contre la dépénalisation, sont là, en l’état. Personne n’a porté atteindre à ton droit de les poster.

Parler du mariage homo sur un sujet concernant la dépénalisation du cannabis, ce n’est ni exprimer une opinion pour, ni exprimer une opinion contre, la dépénalisation du cannabis, c’est simplement hors-sujet. Et je ne peux que m’interroger sur les raisons de faire dévier un sujet de cette manière.
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Je persiste à dire que c'est ouvrir la boîte de Pandore ... Les exemples de déviation de droits octroyés sont nombreux, mais le politiquement correct empêche la libre expression.
Alors je dirai simplement que l'usage du cannabis incite le consommateur à se diriger vers des drogues plus dures. Cela est prouvé.
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C’est bien, nous voilà revenu au sujet Petit sourire

Maintenant tu peux apporter encore plus à ce sujet en apportant par exemple, une source ou une référence, à propos de cette incitation à la consommation de drogues dures que serait le cannabis.
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Je serais aussi curieux de connaître les sources de cette assertion. Sachant qu'environ 14 millions de Français auraient déjà expérimenté le cannabis, ça fait potentiellement un sacré pourcentage de Français toxico aux drogues dures…
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http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet ... xtor=RSS-4

Entre autres mises en garde. Je verrai demain de trouver d'autres appréciations, plus scientifiques ...
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je me permet de réécrire que ce n'est pas la substance qui crée la dépendance.

On as ou l'on as pas un cerveau addictif. Après on fait avec.
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Éclipse a écrit : 
je me permet de réécrire que ce n'est pas la substance qui crée la dépendance.

On as ou l'on as pas un cerveau addictif. Après on fait avec.


C'est une remarque très pertinente. Il y a un schéma de fonctionnement propre à la personnalité addictive. Il s'agit d'un problème complètement inhérent au fonctionnement de la personne, et seule une approche médicale et /ou analytique peut apporter un début de solution, contrairement au cadre légal et répressif, qui ne fait que renforcer le mal-être de la personne sujette à ce trouble, et son envie malgré elle de céder à son comportement compulsif en bravant les interdits par quelque moyen que ce soit.
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Là par contre je ne suis pas entièrement d'accord avec vous.

Sans nier le moins du monde les aspects biologiques de problème, il est à mon sens dangereux de les y réduire et de ne traiter cela que sous l'angle médical. C'est aussi un problème social. On ne fume pas de la même façon dans tous les milieux sociaux, dans toutes les zones géographiques, ou quelque soit son âge.

En tant que pratique sociale, « fumer du cannabis » ne se résume précisément pas à l'acte de fumer lui-même. Il faut savoir se procurer le produit, pouvoir s’inscrire dans une communauté qui nous initie, avoir l'occasion d'apprendre (on ne se met pas à fumer seul chez soi dès le dès le premier soir). À ne traiter cela que sous l'angle de « la personne » (et même de « son cerveau »), on risque d'oublier ces éléments cruciaux sans lesquels on ne peut raisonnablement pas faire une bonne prévention.
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