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Un élément fondant l’opposition à la légalisation : des recherches au cours de la dernière décennie, montrent que le cannabis favorise l’expression des troubles psychotiques, comme la schizophrénie.

Voir : Cannabis et schizophrénie : le lien se confirme (e-sante.fr), 2007‑2014.

Note : l’article a été édité par un médecin généraliste et une médecin spécialisée en neurosciences.
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L’image a écrit : 
« Je ne toucherai jamais au shit »

— Relis la phrase de gauche à droite.
— J’ai dit « de gauche à droite » ! T’as fumé ou quoi ?!
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zen
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Hihihi! Même sans avoir fumé on se laisse prendre au jeu.
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Lui, il se laisse prendre au joint Oops, n’a fait une bêtise .

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L’image a écrit : 
J’ai jamais compris pourquoi le 31 Mai c’est la journée sans tabac, alors que le lendemain, c’est le 1ᵉ joint.
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zen
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Hahaha! Je crois que pour lui le 1er joint est passé depuis longtemps.
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Peut‑être qu’il est né un 31 Mai ? boulet
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Un témoignage d’un patient qui après une chimiothérapie, a soulagé ses malaises et ses insomnies avec du cannabis, à la connaissance du personnel médical qui est resté neutre, constatant les bons effets mais ne pouvant pas cautionné ouvertement, car en france c’est interdit : Comment j'ai surmonté mon cancer grâce au cannabis (huffingtonpost.fr), Octobre 2015.

Quand l’émotion populaire fait taire la raison médicale … Embêté(e) .

Le patient qui témoigne, ne donne cependant pas de détails sur ce qu’il appel simplement « les prises », et je me demande si c’est but en infusion, ingéré en le mangeant ou fumé comme un joint.
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zen
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La mutuelle générale a écrit : 
De nombreuses propriétés ont été prouvées scientifiquement :

Analgésiques.
Antiémétiques.
Antispasmodiques.
Neuroprotectrices.
Anti-inflammatoires.
Contre certaines maladies psychiatriques.

Les applications thérapeutiques du cannabis

Des milliers d'études scientifiques et cliniques ont été publiées avec un intérêt croissant au cours des dix dernières années, et les applications thérapeutiques du cannabis sont de plus en plus reconnues, comme par exemple contre les nausées et les vomissements, l'anorexie, les spasmes, les douleurs, les troubles du mouvement, le glaucome, l'épilepsie, l'asthme, la dépendance, les symptômes psychiatriques, les dépressions, les maladies auto-immunes, inflammations, et bien d'autres encore. Au total, l'Association Internationale pour le Cannabis Médical a répertorié plus de 200 applications thérapeutiques. Elles sont attribuables à l'activation des récepteurs cannabinoïdes (CB1 et CB2) qui sont répartis dans tout l'organisme : système nerveux, système périphérique, système immunitaire.

Au final, les propriétés du cannabis sont exploitables dans les multiples domaines thérapeutiques suivants :
Propriétés analgésiques : douleurs chroniques résistant aux traitements habituels.
Anti-vomitives : contre les effets secondaires des chimiothérapies ou d'autres traitements.
Antispasmodiques : sclérose en plaques, épilepsie.
Activatrices de l'appétit : traitement de la maigreur (cachexie, anorexie, personnes âgées, sida, maladie d'Alzheimer...).
Relaxantes : troubles du sommeil, soins palliatifs.
Broncho-dilatatrices : asthme.
Antipsychotiques : schizophrénie.
Vasodilatatrices : glaucome, migraines.
Antalgiques : névralgies.
Anxiolytiques : maladies psychiatriques.
Antidépresseur.
Anti-inflammatoires.
Les médicaments à base de cannabis

Dans certaines indications précises, les niveaux de preuves ont été suffisants pour conduire à l'autorisation de médicaments à base de cannabis dans plusieurs pays, comme aux États-Unis et en Grande-Bretagne où ils sont aujourd'hui utilisés dans le traitement des nausées et des vomissements liés aux chimiothérapies chez les patients cancéreux ou chez les malades du sida, pour stimuler l'appétit des sidéens, des cancéreux ou des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

Voir là : https://www.lamutuellegenerale.fr/le-ma ... -quoi.html
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zen a écrit : 
La mutuelle générale a écrit : 
[…]

Dans certaines indications précises, les niveaux de preuves ont été suffisants pour conduire à l'autorisation de médicaments à base de cannabis dans plusieurs pays, comme aux États-Unis et en Grande-Bretagne où ils sont aujourd'hui utilisés dans le traitement des nausées et des vomissements liés aux chimiothérapies chez les patients cancéreux ou chez les malades du sida, pour stimuler l'appétit des sidéens, des cancéreux ou des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer.

Voir là : https://www.lamutuellegenerale.fr/le-ma ... -quoi.html

Et pas en france, justement Embêté(e) .
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Cairn a écrit : 
Vous en pensez quoi ? Entendu aux infos aujourd'hui : la dépénalisation rapporterait 1 milliard d'euros par an à l'état français.
J'ai du mal à faire la part des choses, mais il me semble que le cannabis n'est ni plus ni moins une drogue au même titre que le tabac et l'alcool, à ceci prêt que le cannabis a des vertus thérapeutiques !! Mon raisonnement est : si on autorise l'alcool et le tabac, pourquoi ne ferait-on de même avec le cannabis ? Pourquoi autoriser ce qu'on interdit par ailleurs ?

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