Auteur | Message |
---|---|
Administrateur
![]() |
Trois notes sur la mycorhize des arbres.
Les arbres donnent en moyenne, 20 % du sucre qu’ils produisent, à leurs champignons symbiotiques. Les champignons symbiotique ne font pas que transmettre des nutriments aux arbres en échanges du sucre qu’ils en reçoivent, ils peuvent aussi influencer le métabolisme des arbres. Les mycorhizes sont elles‑mêmes associées à des colonies de bactéries. |
Administrateur
![]() |
Un arbre peut être en symbiose avec 100 à 150 espèces de champignons, en même temps.
|
Administrateur
![]() |
Hibou a écrit : Trois notes sur la mycorhize des arbres. Le même taux se retrouve avec les autres plantes aussi, les herbacées. |
Administrateur
![]() |
Le volume de sol accessible à une plante, avec mycorhize, est 1000 fois plus important que le volume de sol qui lui est accessible sans mycorhize.
Les mycorhizes ne fournissent pas qu’un accès à des nutriments, un accès à l’eau aussi. Je ne sais pas dans quelles proportions. Un réseau de mycorhizes, peut s’étaler sur des dizaines de kilomètres de distance. — Édit du 2024-09-05 — Un réseau de mycorhizes, peut aussi relié entre elles, plusieurs plantes et même possiblement d’espèces toute différente : Re: Jardinage : supports de culture et cultures. |
Administrateur
![]() |
Dans la vidéo ci‑dessous, des images réelles au microscope et en accéléré, des effets visibles, liés à la photosynthèse.
La vidéo montre des chloroplastes se déplaçant dans des cellules végétales, pour réguler leur exposition à la lumière. Les chloroplastes peuvent en parti se soustraire à une intensité lumineuse trop forte. On y voit aussi la formation de bulles d’oxygène, un des produits secondaires de la photosynthèse. La voix explique qu’on observe parfois aussi des bulles de dioxyde de carbone, mais que leur formation est moins fréquente, comme ce gaz est facilement soluble dans l’eau. Photosynthesis under the microscope — Sci‑Inspi — 2020 |
Administrateur
![]() |
Ce qui pour la biologie, distingue les animaux et les plantes, c’est le collagène et la cellulose. Du collagène ne se trouve qu’entre les cellules des animaux et de la cellulose ne se trouve qu’entre les cellules des plantes.
J’avais pourtant entendu que le matière organique spécifique aux animaux, est le cholestérol, mais peut‑être que les avis divergent ou que les deux affirmations sont vraies. En tous cas, c’est le collagène qui fait que les éponges sont considérées comme étant des animaux et pas comme des plantes, non‑pas l’absence de photosynthèse. En tous cas encore, la cellulose comme spécifique des plantes, ne fait pas trop de doute, il avait déjà été rapporté que la matière organique la plus produite sur Terre, est la cellulose et que seule les plantes en produisent. Concernant la photosynthèse, pour rappel, certains rares animaux en font, au moins certaines limaces de mers. |
Administrateur
![]() |
C’est tellement compliqué que je ne résume pas vraiment. Précédemment avait été mentionné que certaines plantes sont polyploïdes au delà de la simple diploïdie comme chez les animaux. Par exemple certaines plantes ont leurs chromosomes en six exemplaires, certains blés, en trois exemplaires (les blés sont quand‑même des cas particuliers, surtout les blés tendres).
C’est en fait plus compliqué que ça. Chez certaines plantes, les générations n’ont pas toutes le même nombre de copies, par exemple une génération peut être haploïde et la génération suivante, diploïde, et ainsi de suite. Je laisser écouter, pour se faire une idée de la complexité, mais il n’y a pas de nécessité à retenir, en avoir une idée suffit. Botanique : spermaphytes, à la découverte de l’ovule, des gymnospermes et des angiospermes — Alexis Rastier — 2020 |
Administrateur
![]() |
Le pollen n’est pas un gamète, c’est même un multicellulaire.
Le pollen est en fait un gamétophyte, c’est à dire qu’il fait des gamètes. |
Administrateur
![]() |
Il n’y a pas d’ancêtre commun des arbres à proprement parler. L’arborescence est un trait convergeant, il est apparu indépendamment chez plusieurs espèces de plantes sans parenté commune ayant déjà ce trait.
|
Administrateur
![]() |
Chez les monocotylédones, il n’y a pas d’arbres à proprement parler, bien que certaines plantes de ce groupe puissent avoir un port élevé.
Chez les monocotylédone à port élevé, ce qui ressemble à un tronc est en fait soit une accumulation dense et solide et fibres et de gaines foliaires et on y trouve pas les anneaux de croissance typiques des arbres, soit une tige beaucoup plus grosse que d’habitude. C’est expliqué vers la huitième et les neuvième minute de cette vidéo : L’arbre — Alexis Rastier — 2020 |