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Plantes sauvages comestibles
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Dim 13 Oct 2019 12:36
Message Re: Plantes sauvages comestibles
Les robiniers perdent leurs feuilles. Les peupliers commencent à jaunir.

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Hibou57

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Dim 13 Oct 2019 23:43
Message Re: Plantes sauvages comestibles
J’avais précédemment fait quelques petites parenthèses sur les champignons. Je dois ajouter une note invitant à la prudence même avec certains champignons considérées comme bons comestibles.

Sur le site de la Société Mycologique de France (SMF), il est expliqué que certains champignons peuvent devenir toxiques par sensibilisation cumulée. C’est à dire qu’on peut consommer le champignon plusieurs fois au cours du temps sans présenter de signe d’intoxication, mais un jour, après la consommation du même champignon, des signes d’intoxication apparaissent. Il était précisé que ça peut arriver même avec certains champignons indiqués comme bons comestibles dans certains ouvrages, qui ne devraient pas les indiquer comme tels.

Je conseil donc de vérifier sur leur page dédiée : Champignons toxiques et comestibles (mycofrance.fr). Il faut connaître le nom taxonomique du champignon, ce qui est faisable, mais malheureusement il me semble que la liste ne contient pas tous les champignons connus.

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Lun 14 Oct 2019 00:43
Message Re: Plantes sauvages comestibles
Je crois avoir remarqué que les meilleures pommes sont les variétés de couleur jaune ou à dominante jaune. Elles sont plus sucrées, ont plus de goût et ne sont pas excessivement aqueuse.

Mais ce n’est qu’un constat d’après ce que j’ai put tester jusque maintenant.

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Mer 16 Oct 2019 20:08
Message Re: Plantes sauvages comestibles
L’alliaire se réveil encore un peu avant l’hiver.

Le galinsoga continue à fleurir.

Le roseau semble avoir arrêté de pousser. Au passage, bien qu’il grandisse vite quand c’est sa période, sa période commence assez tard., comparé à d’autres plantes

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Mer 16 Oct 2019 20:12
Message Re: Plantes sauvages comestibles
Si vous voyez, grimpant sur les arbres ou certains murs, souvent haut, une plante qui se ferait passer pour un buisson dont les feuilles sont actuellement d’un rouge vif, une des plantes dont la couleur sent le plus l’automne, c’est probablement la vigne vierge dont il était question précédemment. Pour rappel, cette vigne est toxique et ne doit pas être confondue avec la vigne sauvage. La vigne sauvage aussi, a des feuilles rougissantes, mais moins nombreuses ; toutes les feuilles de la vigne vierge deviennent de ce rouge vif. C’est le moment idéal pour la repérer facilement et faire attention à comment la reconnaître : ses feuilles sont palmées pennées (comme celles du marronnier), contrairement aux feuilles de la vigne sauvage qui sont lobées dentées (comme celles de l’érable).

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Ven 18 Oct 2019 11:54
Message Re: Plantes sauvages comestibles
Au toucher, les chénopode bon‑Henry se distingue nettement du chénopode blanc, les feuilles du bon‑Henry laisse une sensation caoutchouteuse. La forme des feuilles est différente aussi, mais assez proche pour les confondre en passant vite ; les feuilles du bon‑Henry ont des dent très prononcées, en petit nombre, et avec un inter‑dent bien rond profond. La floraison verte des deux est d’aspect similaire, peut‑être juste plus matte pour le bon‑Henry.

Le bon‑Henry est nettement moins répandu que le chénopode blanc, au moins dans ma région. Je tenterai de le mettre en culture si j’arrive à en récupérer des graines en cette période tardive.

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Ven 18 Oct 2019 12:17
Message Re: Plantes sauvages comestibles
L’année dernière, j’avais eu la surprise de découvrir une variété de pomme acide m’évoquant un fond de citronnelle (*). Cette année, c’est une pomme avec un fond d’amertume similaire à celui de la confiture d’orange amère. Cette amertume n’est présente que dans la peau.

Cette pomme est plutôt rouge avec un peu de jaune et a une texture évoquant celle de la poire.


(*) Contrairement à l’année précédente, je n’ai pas put en récolter cette fois, ce pommier n’ayant pas fait de fruits cette année. J’ignore si c’est dut au condition climatique de cette année ou un banal phénomène d’alternance.

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Sam 19 Oct 2019 00:43
Message Re: Plantes sauvages comestibles
Est‑ce la bourrache qui sent la consoude ou la consoude qui sent la bourrache ? Coquin cachotier

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Dim 20 Oct 2019 23:42
Message Re: Plantes sauvages comestibles
La bourrache en pain fourré, a quelque chose de la bette. Ça doit être le mucilage. Je crois que les plantes à mucilages sont les meilleures pour les pains fourrés (ou les tourtes).

Il faudra que je re‑teste la mauve, je ne me souviens plus de quelle impression elle m’avait fait préparée comme ça.

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Lun 21 Oct 2019 22:45
Message Re: Plantes sauvages comestibles
Hibou a écrit : 
Laver les noix, c’est utile pour la conservation, ce n’est pas qu’une question de meilleure présentation. Mais les noix lavées ont été mouillées et peuvent alors présenter plus tard des traces de moisissures sur la coquille. Cependant, si elles ont été ramassées par temps humide, ça se produira quoiqu’il en soit.

De la moisissure sur la coquille est souvent le signe de moisissure à l’intérieur de la noix et sur le cerneau. En effet, à l’échelle des spores de champignon, les coquilles de noix sont des passoires.

Je teste le lavage des noix avec un peu de liquide vaisselle dans l’eau, une demi‑cuillère à café pour une bassine de cinq litres d’eau. Verser le liquide vaisselle avant l’eau et remplir avec le robinet bien ouvert pour que ça mousse. Les noix sont lavées une par une à la brosse dure — une brosse à linge. C’est long, […]

C’était le 12 Octobre, aujourd’hui 21 Octobre, environ dix jours après, je confirme que les noix lavées avec un peu de savon à vaisselle dans l’eau, sont moins sujettes au moisissures, mais n’en sont cependant pas exemptes. C’est quand‑même déjà un mieux comparé au lavage à l’eau claire. L’année prochaine, je testerai le lavage avec une eau un peu salée.

Certaines variétés de noix me semblent plus sujettes aux moisissures que d’autres. Je connais une variété de grosse noix peu denses, qui y sont plus sujettes que les autres et une autre variété qui n’y semble que très peu sujette. J’imagine que la coquille de la variété de grosse noix, est plus poreuse.

Le séchage a sûrement une grande importance aussi, il faudrait un véritable séchoir. Un séchage rapide dans un air perpétuellement renouvelé et sec, préviendrait peut‑être la totalité des moisissures, quelque soit la variété.

Un autre point important, est sûrement les conditions météos que les noix ont vu passer. Pour cette raison, les variétés les plus précoces pourraient être une bonne option, à condition encore qu’elles soient ramassées assez tôt : le moins de pluie elles ont reçu après être tombées, le mieux ça doit être.

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