Jardinage : supports de culture et cultures

Un seul haricot commence à germer aujourd’hui, sans se presser . J’espère que d’autres suivront. Je ne retient pas ce jour pour le temps de germination, j’attend que trois ou quatre autres se montrent, parce qu’il est le seul et les feuilles ne sont encore même pas sorties. Tout ce que je vois, c’est un gros germe qui soulève un haricot blanc hors du sol ; j’imagine qu’il va vite se détacher pour laisser la place à deux feuilles initiales.

Actuellement, les pousses d’avoine font environ 18 cm. J’attend le 26 Avril pour les re‑mesurer, parce qu’à cette date ça fera deux mois (semée le 25 Février).

Pour l’instant elles ne ressemblent pas encore à des céréales, elles ressemblent toujours à de l’herbe.

Des plantes que j’ai transplanté, la cardamine et la barbarée, sont les deux espèces qui se remettent le mieux d’une transplantation. Je n’ai même pas eu à couper de feuilles, la cardamine était même en fleur et les hampes florales n’ont quasiment pas été en bernes ; la barbarée avait des boutons floraux au moment du prélèvement. Un des laiteron transplanté, a déjà fait une fleur, qui s’est ouverte.

Je crois qu’il serait intéressant de récolter des graines de cardamine pour fleurir les abords des jardins. Elle fleurit tôt et a une belle couleur mauve clair.

Je me demandais si la période de l’éclosion des feuilles des noyers, serait un bon indicateur de la période de plantation des pommes de terre. Je disais récemment dans un autre sujet, que les bourgeons de feuille des noyers, commencent à éclore, et j’ai remarqué ce matin que les lilas ont formé leurs grappes de fleurs, et il se dit, sans que je ne sache si c’est valable, que la floraison des lilas indique la bonne période de plantation des pommes de terre. On est le 18 Avril, et l’année dernière, je les avais planté le 20, ce qui avait été un bon choix il me semble. Ça semble coller. Les noyers sont quand‑même plus répandus que les lilas, alors pourquoi pas utiliser l’éclosion des feuilles des noyers comme indicateur …

Et celle qui se remet le moins bien, c’est l’égopode, elle se remet encore moins bien que la valériane. Ses feuilles ne sont pas en berne, elles sont parfois sèches comme du foin, comme si elle n’avait même plus les racines dans le sol et n’avait pas été arrosée. L’égopode semble être vraiment une plante de l’ombre. Je crois que je vais transplanté d’autres pieds d’égopode à proximité de la zone où ont été transplantées des ails des ours. Les ails des ours d’ailleurs, qui semblent ne pas trop aimer le sol apparemment acide partout, mais elles le supportent quand‑même. Elles ont des zone brun clair sur les feuilles, dont je suspecte qu’elles soient plus des champignons que des traces de déshydratation, et les maladies fongiques viennent vite, sur ce sol plutôt acide.

L’alliaire supporte finalement bien le soleil, malgré qu’on la voit souvent à l’ombre. La lampsane le tolère, mais le plein soleil, n’a pas l’air d’être ce qu’elle préfère ; je verrai bien plus tard.

La barbarée a des racines étonnamment petites, par rapport à la taille de la plante. Peut‑être est‑ce lié à la raison pour laquelle elle se remet bien d’une transplantation ?

Le chou fleur semé le 29 Mars, commence à se montrer, avec ses deux initiales feuilles bifides identiques à celles du chou rave. Le chou fleur aura levé en 21 jours.

Les fourmis peuvent emporter des graines, si elles ne sont pas trop grosses. J’avais semé il y a deux jours, un peu de grains d’avoine quelque part, pour un test. J’y suis retourné aujourd’hui, j’ai constaté que quasiment tous les grains sont disparus ; dans le même temps, j’ai remarqué qu’il y a beaucoup de fourmis à cet endroit.

La seule solution que je vois : ne pas laisser de graines en surface ou alors tasser un minimum pour les coincer sur la surface du sol.

Normalement ils ne faut pas semer en surface, les deux ou trois centimètres de profondeur d’un semi classique devrait empêcher les fourmis de prendre les graines, mais je mentionne le cas quand‑même.

Il se trouve que là, la terre était tellement dur en dessous de la fine couche d’humus, que je n’ai pas put faire autrement.

Aujourd’hui j’ai remarqué que cet haricot, a été partiellement grignoté ; j’ignore par qui ou quoi. J’ai aussi heureusement remarqué la germination d’un second haricot. Ils en mettent du temps à germer, ces haricots.

Peut‑être attendaient‑ils la chaleur ? Il faut chaud depuis trois jours …

Parlant des années 1300, de 00:01:59 à 00:02:14 dans la vidéo postée au message Re: Réchauffement ou pas : la querelle franchit la ligne jaune.



La cause de l’épuisement du sol n’est pas dite, ce n’est pas l’objet de la vidéo. Je me demande si les rotations existaient ou pas à cette époque. En tous cas ça souligne l’importance du suivi du rendement, comme indicateur de l’évolution du sol.