Hello!

Inspiré(e) de prendre part à la discussion ? Ou de poser une question ou demander de l’aide ?

Alors bienvenues dans les grands sujets des forums de La Bulle : m’inscrire.

Cette partie du forum n’est pas compatible avec les bloqueurs publicitaires

Félicitations à vous, de préférer les accès payants plutôt que la gratuité par la publicité, c’est honnorable et cohérent de votre part. Malheureusement, l’accès payant par micropaiement (qui serait d’environ 1 cent pour 20 pages consultées) n’est pour l’instant pas encore mis en place, et l’accès gratuit sans publicité, est réservé aux membres actif(ve)s du forum. En attendant, si vous souhaitez poursuivre votre visite chez nous, vous pouvez ajouter le site à votre liste blanche, ou encore mieux, désactiver le bloqueur partout. Pour ajouter le site à votre liste blanche, pour Firefox (similaire pour les autres navigateurs), rendez‑vous en bas à gauche de la fenêtre de votre navigateur, et cliquez sur le menu comme dans l’exemple de l’image ci‑dessous, puis rechargez la page, en appuyant sur F5.

Jardinage : supports de culture et cultures
Auteur Message
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Mer 17 Fév 2021 10:33
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
L’avoine de 2020, avait été enfouie à une bonne profondeur, 2 à 3 cm, en suivant des recommandations courantes dans l’agriculture, mais pourtant elle avait mal levé. S’était posé la question d’une imprecision, de quelque chose qui n’est pas dit, peut‑être sur la signification de cette profondeur, par exemple peut‑être une profondeur de sillon plus qu’une profondeur d’enfouissement.

Peut‑être que l’explication était dans le taux d’humidité du sol :

Le document ci‑dessous a écrit : 
L'absorption de l'eau par la semence démarre le processus enzymatique qui casse ces réserves nutritives pendant la respiration. Cela demande de l'oxygène, qui est disponible dans l'air. Par conséquent, il est important que le sol recouvrant la semence soit suffisamment meuble pour pouvoir être traversé par l'air et l'oxygène. Il est tout aussi important que le dioxyde de carbone formé durant la respiration puisse s'évacuer. Un sol détrempé par de fortes précipitations après le semis peut être déficient en oxygène, causant des problèmes de germination.

Source : Exigences du lit de semences (vaderstad.com).

Quand les plantes ne font pas de photosynthèse parce qu’il n’y a plus de lumière, la nuit par exemple, elles utilisent le sucre qu’elles ont fabriqué et stocké quand il y avait de la lumière, et l’utilisent dans un processus de respiration, inverse de la photosynthèse, comme déjà noté quelque part dans le sujet « Notes en vrac sur les plantes ». Ors, comment pourrait‑il en être autrement avec un germe ou une pousse qui n’a pas encore de feuille(s) ? Il fallait y penser, et personnellement je n’y avais pas pensé.

Justement, l’avoine de 2020 avait été semée juste avant une grosse pluie qui était annoncée et qui avait bien eu lieu, espérant que ça favoriserait un bon départ. Sans le savoir, les grains avait été noyés dans une terre où l’oxygène n’arrivait pas. C’est ce qui pourrait expliquer la faible levé même dans une zone de la surface où la terre était nettement plus meuble qu’ailleurs. Le problème était alors plus dans le peu d’oxygène pouvant entrer dans le sol que dans la profondeur d’enfouissement.

Il ne faut pas jauger que la dureté du sol pour essayer de deviner si oui ou non des germes pourront le traverser, il faut aussi jauger la capacité de la couche de sol sur les graines, à laisser passer de l’oxygène, ce qui ne dépend pas que du sol, mais aussi des conditions météos après le semis.

L’avoine semée en 2019, l’avait été au contraire après une forte pluie, mais au moment du semis, la terre avait eu le temps de devenir sèche en surface et avait même été arrosée juste après le semis, par sécurité ; l’enfouissement était aussi nettement plus faible, un bon nombre de grains ayant même germé en surface (avec quelques jours de retard comparé à ceux qui étaient enfouis, car moins à l’humidité).

En bref, il ne faut pas enfouir profondément, quand des grosses pluies sont annoncées, même si on sait que le sol ne sera pas dur, à moins qu’il ne soit sûr que le grain du sol permettra quand‑même à l’air d’arriver au semis. Il faut trouver l’équilibre permettant à la fois une humidité suffisante et une arrivé d’air suffisante.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Mer 17 Fév 2021 15:17
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
À la suite du message précédent.

Une terre fine, peut aussi se colmater à l’humidité, et alors là aussi, même si elle ne forme pas une croûte solide, elle empêchera l’air de passer. Alors l’idée de couvrir les graines d’une terre fine, comme envisagé dans le courant de l’année dernière, n’est pas la meilleure.

Pour maintenir l’humidité et à la fois laisser passer un peu d’air, une texture grumeleuse conviendrait mieux, en théorie. En tous cas, l’espace entre le grain devrait au moins faire un passage facile pour les germes.

L’année dernière, un « compost » de paille contenant des morceaux d’environ 5 mm (par tamisage), avait été utilisé, sans bon résultat. Mais il n’était pas une terre à texture grumeleuse, les morceaux n’absorbaient pas l’eau et se déplaçait à l’arrosage et à la pluie (le confinement qui avait empêché l’entretient à un moment crucial, n’était pas la seule cause de l’échec de ces semis).

Reste à savoir comment obtenir cette texture à coup presque sûr. Je penses à une option, mais il faudra attendre un peu avant de la vérifier.

La citation du message précédent, parle quand‑même plus de la nécessité de l’évacuation du dioxide de carbone de que l’arrivé d’oxygène, ça pourrait être différent, mais pour faire du dioxide de carbone, il faut de l’oxygène, alors je supposes qu’il s’assurer des deux, l’évacuation du dioxide de carbone et l’arrivé de l’oxygène.

Les graines d’arbres parviennent pourtant à germer et à sortir même sous une bonne profondeur et sans aération apparente. Ça peut sembler contradictoire. Ou alors le besoin en oxygène est tellement faible qu’il en suffit d’un petit peu emprisonné quelque part. Mais resterait la question de l’évacuation du gaz carbonique. Peut‑être que de même, il suffit de toute petites cavités pour l’évacuer. Ou alors c’est le volume libre à l’intérieur de la coque, pour les noix et noisettes par exemple.

Une autre contradiction est que plus une graisse est grosse, plus elle doit être enfouie en profondeur, alors que si elle a plus de réserve à transformer, elle devra consommer plus d’oxygène et rejeter plus de CO2, ce qu’elle peut faire d’autant moins facilement qu’elle est en profondeur.

Ce qui est relevé par la citation du message précédent, est intéressant, mais semble trop imprécis, il manque des choses, sinon c’est contradictoire avec la pratique.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Mer 17 Fév 2021 16:05
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
L’avoine de printemps dont quelques pieds spontanés avait passé l’hiver, l’année dernière et à qui ça semblait même avoir réussit, aurait‑elle supporté ce gel ?

Même si des gels vifs comme celui‑ci sont devenu peu courants, le précédent épisode rappel qu’ils restent possibles, et que les observations pouvant être faites sur la végétation passant l’hiver, ne valent pas pour ces gels, mêmes s’ils sont devenu plutôt inhabituels.

[…]

Ça n’empêche pas non‑plus de traiter les céréales de printemps comme de potentielles céréales d’hiver, si les hivers deviennent vraiment assez doux. Ça rappel juste qu’il faut prévoir le cas de l’hiver trop froid qui anéantit les pousses, en gardant toujours assez de grains pour refaire un semis fin‑Février, si c’est nécessaire.

En théorie, il y a évidemment toujours l’option de semer de véritables céréales d’hiver, mais on peut préférer une variété de printemps et les grains achetés en grande surface ne mentionnent jamais la variété ni le type et les semences de céréales disposant de ces précisions, sont assez inaccessibles au grand‑public (vendues par grande quantités, seulement).

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Mer 17 Fév 2021 19:03
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
Les vivaces ou bisannuelles à grosses racines, sont à éviter dans les rotations. Même après un semis de la première année, les racines peuvent être déjà grosses. Des racines oubliées dans une surface sur laquelle il ne sera pas possible de circuler, risquent de faire repartir des plants trop concurrentiels pour la culture suivante.

Ça inclut par exemple la chicorée, assez ombrageante, dont les racines se développe étonnamment vite quand elles se plaisent là où elles ont été semées, en tous cas plus qu’en terrain sauvage. Ça inclue aussi la bette, couvrante au raz du sol, dont la racine qui a tendance à fourcher, n’est pas évidente à retirer entièrement et elle peut repartir à partir d’une racine non‑entière.

Pour ces plantes, et pour d’autres raisons pratiques aussi pour d’autres vivaces, comme la mauve ou la pimprenelle, mieux vaut prévoir des surfaces dédiées sur lesquelles elles seront installées en colonies permanentes. Ça n’empêchera pas d’éventuellement déplacer une colonie ailleurs après quelques années, si des pathogène semblent s’être installés dans le sol. Pour l’entretient, un dépôt en surface devrait suffire, comme ce sont des vivaces qui sauront traverser cette couche d’apport.

[…]

Ce qui était dit là est en partie incorrecte, à cause d’un biais que j’avais sur le moment.

Les plantes en question, je les récoltais plutôt dans la nature, en faisant attention à permettre à la plante de continuer à pousser. Mais dans un jardin, on peut s’y prendre autrement et dans certains cas, ce serait même préférable.

Par exemple avec la pimprenelle, les plus jeunes feuilles sont les meilleures. Elles viennent au centre de la rosace où elles sont difficiles à récolter, les plus faciles à récolter étant les plus grandes autours de la rosace. Avec des pimprenelles cultivées, il possible de faire comme avec n’importe quelle plante cultivée, récolter entièrement quand ça semble être le meilleur moment, c’est à dire le plus tard possible pour qu’il y ait le plus de feuilles possible, mais avant que les feuilles du bord ne deviennent un peu coriaces ou amères. Récolter toute la plante avec la racine, faciliterait la coupe des feuilles à la base, comme ça se fait traditionnellement avec les petits pissenlits. Dans le cas de cette plante, le récolte n’a pas besoin de se faire comme si elle était dans la nature, il faut juste garder quelques pieds comme porte‑graine.

Avec la mauve, ça dépend des cas, elle peut faire beaucoup ou peu de feuilles la première année, d’après ce qui a été observé. Elle en fait toujours plus quand elle est bien installée et il n’y a pas d’intérêt à préférer les feuilles les plus récentes, à moins que les premières feuilles n’aient été attaquées par le champignon orange dont j’ignore le nom. Dans le cas de la mauve, une colonie est effectivement plus indiquée, mais la culture en annuelle, n’est pas exclue non‑plus, si elle pousse assez bien dès la première année.

En résumé, en cultivant des plantes sauvages, il ne faut pas oublier qu’elles sont cultivées et que comme on s’assure qu’il y en aura toujours en les cultivant, on peut les récolter et les gérer d’une manière différente de si elles étaient dans la nature. L’erreur du message cité et que j’ai fait sans y réfléchir, était de les aborder comme si elles étaient dans la nature.

D’ailleurs en parlant de différence entre condition sauvage et condition de culture, il serait intéressant d’essayer la chicorée sauvage en enfouissant la rosace de feuilles, avant que les feuilles ne soient trop grandes et avant l’apparition de la hampe. Les enfouir, pour les blanchir à l’abris de la lumière, comme avec les endives, pour voir le résultat. Le mieux pour que ça se fasse sans trop de difficulté, serait peut‑être de les semer au fond d’un sillon plus profond qu’à l’habitude et comber le sillon avec de la paille ou autre mais pas de la terre, au bon moment. C’est ce qui sera testé cette année.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Jeu 18 Fév 2021 10:25
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
En 2019, avait été décrit le principe du décorticage de l’avoine (nécessaire même pour une variété à grain nu, comme la glume ne part pas toute seule) par friction plutôt que par battage. Le décorticage par friction n’est pas inconnu, un document fait mention de cette technique dans un tableau comparant des décortiqueuses. On y voit qu’une décortiqueuse du fabriquant Moulins Alma Pro, opère par friction, avec des rouleaux en caoutchouc (de mon côté je pensais plutôt à une meule en bois rainuré, éventuellement associée à une bande en tissus épais).

Voir : Les fiches techniques du réseau GAB/FRAB : décorticage (agrobio-bretagne.org) [PDF].

En marge, on peut noter le prix élevé des décortiqueuses, entre 4 000 et 12 000 €, pour les modèles présentés dans le tableau.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Jeu 18 Fév 2021 10:36
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Toutes les orges sont comestibles, mais il existe une distinction entre les orges de brasserie et les autres. Un détail pour les distinguer, mais insuffisant pour une distinction certaine, est que les brasseries préfèrent les orges de printemps.

Voir : L’orge, céréale rustique cultivée sur tous les continents (semencemag.fr).

Les orges à grain nus, existent et elles peuvent être à deux rangs ou à six rangs, comme les orges à grain vêtu, de loin les plus courante d’après ce que j’observe. Le problème est de savoir où s’en procurer des semences en temps que particuliers, si elles ne sont pas cultivées dans les champs qui ont apparemment surtout les brasseries comme débouchés, et les brasseries ne semblent pas se préoccuper de la distinction grain nu ou vêtu.

Voir : Orge : Classes, types et variétés (grainscanada.gc.ca).

Je me mentionne l’existence d’orge à grain nu en espérant qu’elles n’ont pas besoin d’être poli, mais je n’en sais rien après tout, ça reste à vérifier.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Jeu 18 Fév 2021 20:17
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Le PMG de l’avoine ratée de 2020, est unexpectedly plus élevé que celui de l’avoine de 2019.

Pour rappel, l’échantillon de semences d’avoine reçue à titre exceptionnel d’un semencier (Sem Partners) en 2019, avait un PMG d’un tout petit peu moins de 30 g, la valeur typique pour l’avoine étant de 26 g.

Pour la récolte moyennement réussie de 2019, le PMG était de 21.46 g (21 virgule 46). La récolte de grain sur 100 m², avait été d’un peu moins de 4 kg 800 (alors que 7 kg au moins étaient espérés et 12 kg au plus).

Pour l’avoine ratée de 2020, je m’attendais à un PMG encore plus faible, mais il est de 23 g. Cependant, la récolte aura été faible, un peu plus de 1 kg à peine, à peine de quoi resemer.

Un PMG plus élevé pour une mauvaise récolte que pour une meilleure précédente, c’était inattendu … Peut‑être que ça signifie que la densité de semis de 2019 était un peu trop élevée ? Pour le semis de 2019, elle avait été de 450 grains/m².

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Ven 19 Fév 2021 23:21
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Pour se procurer une variété d’orge à grain nu, via un commerce alimentaire, voir ce message : Re: Les farines et céréales : propriétés et usages.

La variété exacte n’est pas connue, à moins qu’elle n’apparaisse indiquée sur les paquets à la réception. À moins que la variété ne soit indiquée, ce qui est malheureusement peu probable, il ne sera pas non‑plus possible de savoir si c’est une orge d’hiver ou de printemps, et alors il faudra faire avec cette incertitude.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Sam 20 Fév 2021 10:49
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Le test de germination du quinoa, avait montré qu’il germe en 24h à peine. Croyant l’amarante proche du quinoa, c’est avec surprise qu’il est constaté qu’au bout de 5 jours, aucune graine n’a germé.

L’amarante n’est pas cultivée, elle est typiquement considérée comme une adventice envahissante qui se resème très bien, alors le résultat est surprenant.

Apparemment, l’amarante a une température minimale de germination assez élevé, au moins supérieure à 16 ℃. Après rapide recherche, il est dit qu’il germe à 18 ou 20 ℃ ; non‑pas une température optimale de germination, mais un zéro de germination. Au contraire, le quinoa est connu pour d’autant mieux pousser qu’il fait froid, il est dit qu’il préfère les températures aux environs de 7 à 10 ℃, il aime tellement le froid que pour améliorer le taux de germination, il est conseillé de vernaliser les graines à 4 ℃ ou moins pendant une semaine. Il supporte bien le gel, contrairement à l’amarante.

L’amarante, comme son nom l’indique, est du genre amarante, mais le quinoa, n’est pas une amarante, il est du genre chénopode. Leur famille est bien la même, les chénopodiacées, et il ne faut pas confondre la famille et le genre dans la famille, même si le nom prête à confusion.

Amarante et quinoa sont assez différentes, même si aussi proches.

Pour la première tentative sur plus qu’un petit carré, le quinoa et l’amarante seront toujours semés en même temps sur la même surface divisée, comme initialement prévu, ça permettra au moins d’observer, mais le quinoa devrait plutôt être semé en fin d’année, en même temps que ce qui doit passer l’hiver.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet
Administrateur
Avatar de l’utilisateur
  • Genre : Télétubbie
  • Messages : 22173
Mar 23 Fév 2021 21:53
Message Re: Jardinage : supports de culture et cultures
Hibou a écrit : 
[…]

Note : pour distinguer un chevreuil d’une biche, il est possible se fier à la taille. Les chevreuils sont nettement plus petits que les biches et les cerfs. Les biches sont aussi grandes que des ânes, les chevreuils ne sont pas plus grands que des petits poneys. J’ai aussi l’impression que les chevreuils sont un petit peu roux, tandis que les biches qui sont plutôt beiges. Je crois savoir que les petits des biches et des cerfs, sont toujours accompagnés, que alors il n’y a pas trop de risque de méprendre leurs petits pour des chevreuils. J’ai l’impression, aussi, de rencontrer plus fréquemment des biches que des chevreuils. Je ne vois jamais de cerf, mais j’en ai entendu un une fois, une seule fois. J’entends les biches pas trop rarement. Se tromper sur la distinction, n’est pas grave, comme ils sont assez semblables.

Aussi, les chevreuils ont de plus grandes oreilles, au moins en proportion ; tellement grandes que de pas trop loin ils semblent avoir des oreilles de lapin ou de lièvre.

Justement, en parlant d’eux, les lapins et les lièvres. Eux aussi se distinguent par leur taille : les lièvres sont nettement plus grands que les lapins. Ce n’est pas la seule différence : les lapins semblent ne se déplacer qu’en sautillant, tandis que les lièvre semblent plutôt trottiner. De loin, un lièvre peut être pris pendant quelques secondes pour un chien pas trop petit mais pas trop grand, gambadant seul dans un champ, tellement il bouge différemment des lapins. Les lèvres sautent aussi, mais personnellement je n’en ai jamais vu un le faire. J’imagines que ça leur arrive quand ils s’enfuient devant un danger réel.

Image
Hibou57

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon]
Profil Site Internet